Jusqu’à aujourd’hui, il semble que ni l’administration pénitentiaire ni la justice ne soient réactives à cet acte de lutte très fort. Cette grève de la faim n’est pas la première au sein de la maison d’arrêt angevine. Un autre détenu avait commencé une grève de la faim il y a plusieurs semaines, qu’il avait arrêté le lendemain suite à des promesses orales de l’administration pénitentiaire. Ces promesses n’ont pas été tenues.
Aujourd’hui, le détenu en lutte proteste pour avoir accès à ses droits (il ne demande que l’accès à une pièce de son dossier) et contre « la justice qui se prend les pieds dans le tapis ».
Si l’administration pénitentiaire, et la justice veulent faire la sourde oreille, il faut lever le ton pour se faire entendre.
Que faut-il de plus à l’appareil carcéral pour qu’un détenu se fasse entendre ?
Faites circuler l’info pour ne pas laisser sous silence les résistances des détenus !
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