Je ne suis personnellement pas inscrit dans les luttes affinitaires depuis des decennies, mais l’utilisation du terme « révisionnisme » en ces temps de Paix sociale et identitaire, comme forme de procès, c’est un peu gros…

Voici donc les deux titres et liens (que j’ai pourri avec deux**).
Retour historique sur un revisionisme insurectionnaliste

lien : http://nantes.indymedia.org/article/20**202

author dimanche 28 mars 2010 – 17:10author par class/war

Rebetiko : Retour historique sur un révisionnisme insurrectionnaliste
(Le 28 mars 2010)

lien : http://cettesemaine.free.fr/spip/article.php3?id_article=3**096

Pour faire simple, je ne connais personne de chez Rebetiko, j’y trouve des choses intéressantes, d’autres qui m’accroche moins. En tout cas, je salue leurs initiatives, les promotionne et distribue.

Chacun peut s’y abonner (rebetiko@riseup.net), participer.

Je ne suis pas payé pour prendre leur défense, je fais ça par ce que trouve cette attaque injuste.

Les deux extraits de « l’article » :

Selon class/war : « L’été 1944 semblait être une fête lorsqu’on lit Rebetiko. Il semble que l’insurrection était à porté de main (évidemment on ne l’a jamais vu), que l’on est pas passé loin. Nous n’auront cependant pas d’éclaircissement sur la raison de ce non événement. »

FAUX, moi je lis :  » Pour la plupart des FTP, la lutte libératrice ne devait se borner à ….. . Ce processus révolutionnaire n’est jamais évoqué, mais il était présent dans tous les esprits.  » A aucun moment l’insurection est à portée de la main…

Selon class/war : « Le sommet du révisionnisme historique (souligné par PROBE) arrive lors de la lecture de l’encart sur Marseille » … »« Une quinzaine d’entreprises dont les patrons avait collaboré sont réquisitionnés par les ouvriers. Des conseils en contrôleront la production pendant plus de 2 ans. En france la collaboration devient un bon prétexte pour s’attaquer à un millier de patrons. » L’idée n’est pas totalement fausse. »

Jugement bien sévère pour un article dans un petit encart de 12.5 lignes du fanzine…

Je trouve qu’un simple article mettant le doigt sur « l’impasse ou racourcit historique » aurait largement suffit…ou, plus classe, envoyer un article complément qui aurait ammené  » la vérité « , mais partager de l’info, pour cetainEs, ça fait encore mal au cul…et ils/elles préfèrent plutôt casser du sucre sur le dos de celui qui essaye de faire quelque chose.

Pourquoi tant de haine ? Des comptes d’épiciers à régler…sans doutes….

Pour ceux et celles qui veulent aller plus loin concernant ces histoires de Lutte :

Robert Mencherini, La Libération et les entreprises sous gestion ouvrière – Marseille, 1944-1948