Bien que les Républicains de la Bibliothèque du Congrès des États-Unis répètent jusqu’à la fatigue la fiction juridique des putschistes honduriens, ils ne pourront jamais attribuer à Manuel Zelaya aucun délit. Il n’a jamais eu et il ne peut y avoir de la part du président Zelaya un délit de trahison à la patrie, puisque ni le pouvoir judiciaire ni le pouvoir législatif n’ont aucun indice qui peut constituer une preuve, et il n’existe aucune raison ou fait qui permet de supposer qu’une nouvelle Constitution n’incluera pas des articles tel que l’article 4 ou l’article 239.

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Les élections du 29 novembre représentent l’estocade finale du coup militaire contre la République du Honduras. Les putschistes ont ouvertement abusé de la Cour suprême et du Congrès pour renverser le président et maintenant ils veulent abuser du Tribunal National pour les Élections afin de clore définitivement le putsch militaire.

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