« Nahel, un an après : la révolte étouffée » est disponible ! Un documentaire qui donne la parole à des émeutiers, des militants, des chercheurs, des voix engagées. À voir ici : https://www.youtube.com/watch?v=bvTUWFjpiXQ Fin juin 2023, après la mort de Nahel, touché par un tir policier à Nanterre, la…
samedi 19/10/2024 à 18:55
Article wikipedia AZF: L’hypothèse de l’impulsion électromagnétique
L’hypothèse de l’impulsion électromagnétique a été initiée à la suite de témoignages sur des « faisceaux lumineux géants » aperçus quelques secondes avant l’explosion du hangar 221 ainsi que sur des phénomènes locaux comme des coups de foudre, des tétanisations pendant plusieurs secondes et autres perturbations électromagnétiques inhabituelles.
En juin 2002, les sociétés Géoid et Fugro sont chargées par la justice de réaliser les relevés électromagnétiques et magnétiques[26]. Cette expertise fut réduite au simple site d’AZF et à la SEMVAT (bus), parce que le survol de la SNPE avait été interdit par le préfet. L’hypothèse de l’arc électrique est encore soutenue par la société Grande Paroisse, mais rejeté par les experts et l’enquête judiciaire.
L’association AZF Mémoire et Solidarité[27], partie civile dans le dossier, qui regroupe plusieurs centaines d’anciens salariés de l’usine sinistrée, a insisté auprès de la justice pour que les phénomènes précurseurs d’origine électromagnétique et magnétique mentionnés soient étudiés et pris en compte. Ces témoignages sont restés définitivement inexpliqués depuis la fermeture du dossier avant procès. Jean-Pierre Petit évoque rapidement sur son site les liens qu’il établit entre l’explosion et l’effet qu’il attribue à une impulsion électromagnétique, plus connue sous l’acronyme anglais EMP[28]. Jean-Paul Serbera, dans son premier ouvrage AZF Toulouse : un mensonge d’État prétend que l’explosion a produit de nombreuses IEM. Mais dans son second ouvrage Attentat à la SNPE ? : la face cachée de l’affaire AZF il avance qu’une bombe EMP utilisée sur Toulouse aurait pu provoquer la catastrophe. En 2006, dans son livre AZF-Toulouse : Quelle vérité ?, Daniel Dissy évoque l’existence de bombes EMP américaines et franco-allemandes ainsi que l’hypothèse qu’une telle bombe aurait été utilisée ou testée à Toulouse en aérien ou en souterrain.