Au fur et mesure, il est apparu que ces personnes venuEs interrompre l’AG et faire en sorte qu’elle ne puisse se faire avait été ramasséEs par la BAC, en possession de cannabis, et menacéEs d’être jetéEs en cabane.

La seule alternative que les forces du désordre ont bien vouluEs leur donner était qu’illes se rendent à l’AG pour l’empêcher.

Tout ça n’est pas sans rappeler les heurts qui avaient eu lieu lors des gros mouvements lycéens d’il y a 2 ans ou des personnes issues des quartiers avaient agrésséEs les manifestations. La thèse d’une intrumentalisation de cette nature avait alors été évoquée, mais rien ne pouvait la confirmer plus que ce qui vient de se passer à cette AG.

On sait maintenant exactement à quoi s’en tenir sur les stratégies du pouvoir face à se mouvement, le gouvernement nous ressort la bonne vieille stratégie d’utiliser les masses les plus précaires contre celles qui sur le moment le dérange. Comme à Bayonne ou les truands avaient été chargé d’assassiner les réfugié basques espagnols par exemple. Cette stratégie n’est pas nouvelle, sauf que tout le monde dans cette histoire, pertubateurices comme liycéenNEs se retrouvent pris dans ces manoeuvres.

Mais cela montre aussi combien le gouvernement n’a pas de prises sur ce mouvement, en tout cas pas les prises habituelles qu’il peut avoir sur les autres (syndicats inertiques notamment) pour en être réduit à ces méthodes.

Plus que jamais il est temps de faire la jonction avec les genTEs des quartiers populaires, de plus en plus écraséEs par les forces du désordre (création d’une nouvelle brigade d’intervention spéciale émeute de quartier, usage des la strangulation lors des arrestations qui ont déjà fait 3 morts, cf le mouvement lancé par le forum social des quartiers populaires) alors que les récentes affaires de terrorisme permet d’invisibiliser encore plus cette répression qui se prépare pour ces quartiers.