Pour tenter d’asseoir sa décision, le Maire s’est offert les services d’un avocat. Le directeur du service juridique de la ville était également présent lors de l’audience. Ce duo de choc n’a toutefois pas été en mesure de convaincre le juge du bien fondé du rejet de nos listes !

Le Maire est allé jusqu’à demander au juge de condamner SUD au paiement de 1000 Euros !

Serait-ce le prix à payer pour un syndicat qui s’oppose à la volonté de l’employeur ?

Comment interpréter le positionnement du Maire à l’égard d’un syndicat cherchant à défendre les intérêts des employés territoriaux ? Refus des pages syndicales sur l’intranet, refus de notre participation aux réunions de préparation des élections professionnelles… Et enfin, refus de nos listes !

Autant d’éléments qui montrent la volonté du maire de nous empêcher d’agir et de vous représenter.

Malgré ces obstacles, SUD a su convaincre le juge de sa légitimité, de sa représentativité réelle, et démontre ainsi sa capacité à vous représenter.

Que de temps perdu, pour SUD, dans cette campagne !

Nous aurions préféré consacrer ce temps et cette énergie à vous rencontrer, vous écouter, échanger et à agir avec vous pour faire reconnaître à l’employeur, par l’amélioration des conditions de travail et des salaires, l’excellence de votre travail qui contribue à garantir un service public de qualité.

MERCI AUX AGENTS QUI NOUS ONT SOUTENU DANS CETTE AFFAIRE,

MERCI AUX ADHERENTS, AUX SYMPATHISANTS QUI COMPOSENT LES LISTES D’UN SYNDICAT PLUS MOTIVE QUE JAMAIS !

SUD, LE SEUL SYNDICAT DONT LE MAIRE NE VEUT PAS ! (Mais qui sera là quand même !)