Bonjours messieurs-dames du CGT,

Je voudrais commencer par vous féliciter avec votres travaux et les grèves fortes de ce mois.

Je ne suis pas une citoyenne de la France, et pour ça, mon Français n’est pas optimal. De toute façon je voudrais bien vous contacter afin d’expresser mon inquiétude sur se qu’il s’est passer les dernieres heures.

Il y avait du sabotage et vous avez vous distancié de ses actes. Un acte de distancion est quelque chose que je comprend très bien. Comme syndicat de négociations il est impossible de faire un apport ouverte fas á des actes comme celle si. La problème est que vous ne vous avez non suelement distancié de ses actes, vous les avez aussi condamné. Faire ça est quelque chose que me préoccupe.

Des actes de sabotage sont eux aussi un acte de malcontentement des ouvriers et ouvrières. Quand vous les condamnez, vous êtes aussi en traîn de condamner cettes individues-là. En plus, en contraîre de se fortificier, vous êtes en traîn de vous affaiblir. Vous cause la possibilité d’une rupture entre des travailleurs et travailleuses qui font de la force en s’unir. Je ne crois pas que des actes de sabotage font mal a votre position de négocier. Il vous donnent la possibilitë de avertir que les ouvrières et ouvriers françaisent sont en traìn de perdre leur patience. Je suis de l’opinion que se distancier comme auteur de cettes actes ne veut pas du tout dire qu’on les condamne. Je crois que l’occurence de ses actes ne veut pas du tout dire que votre nom comme syndicat serait affaîblit. Communicer de ses actes d’une manière plus stratégique dans la presse et avec des négociateurs vous donne la posibilité d’augmenter votre travail comme porte-paroles de les travailleurs françaises et comme défenseur du peuple en leur chemin de liberté et de défense de leurs vies.

Prière de lire cette article, de ne pas condamner tels actes, de ne pas aider les forces étatiques ou monétaires dans leurs intentes de criminaliser l’existence des gens qui lutte pour leurs vies – de beaucoups de manières. Dans une monde du capital, cuex qui veulent vivre doivent s’unir y fortifier l’un avec l’autre.

Un salut forte.

Mademoiselle Carine