Gaza, Liban : qui va arrêter les assassins ?
Catégorie : Global
Lieux : LibanPalestine
Alors que le génocide à Gaza est toujours en cours depuis maintenant un an, c’est le tour du Liban. Exécutions extrajudiciaires, utilisation de nouvelles technologies meurtrières, tapis de bombes provoquant l’exode de centaines de milliers de civils, familles entières pulvérisées, les méthodes utilisées à Gaza sont à présent appliquées au Liban.
Ne nous y trompons pas : au Proche-Orient, Israël est le bras armé des États-Unis et de l’Union Européenne. Il fait ce que l’OTAN n’est pas en mesure de faire. Il le réalise avec des armes occidentales et avec le parapluie diplomatique de l’Occident.
Parce qu’il est voisin d’Israël, parce que des centaines de milliers de Palestiniens y ont trouvé refuge en 1948, parce que l’Iran est un allié du Hezbollah, le Liban est à nouveau attaqué. Après la participation d’Israël au côté des Phalanges (un parti fasciste) pendant la guerre civile libanaise, après les invasions meurtrières de 1978 et 1982, après Sabra et Chatila, après 20 ans d’occupation du Sud Liban, après les guerres de 2000 et 2006, le gouvernement israélien attaque à nouveau le peuple libanais avec l’espoir de mettre des collabos à sa tête.
L’UJFP appelle tous les progressistes à soutenir le Liban. En même temps, il faut dénoncer les dirigeants occidentaux qui peuvent arrêter Nétanyahou et qui ne le font pas. Cette complicité achève de détruire le droit international ou plutôt ce qu’il en reste.
L’UJFP dénonce aussi les médias dominants qui, comme ils l’ont fait à Gaza, prennent bien souvent le point de vue de l’agresseur. C’est contre le Liban qu’il y a une « menace existentielle », pas contre Israël.
Cessez le feu immédiat au Liban et à Gaza, Sanctions immédiates contre l’État d’Israël, Jugement des criminels de guerre.
Des rassemblements sont organisés le vendredi 27 septembre à 18h30 en France pour soutenir la Palestine et le Liban.
La Coordination nationale de l’UJFP, le 26 septembre 2024
Surpublication du troll. On est pas l’arrière boutique de l’UJFP. Par ailleurs pas de prise distance avec l’Iran et usage très glissant du terme collabo.