Lettre à rémi fraisse: la vie continue, le combat pour elle aussi
Rémi, Le 26 octobre 2014, ta mort m’avait déjà marqué, s’ajoutant à la longue liste des violences policières, confirmant l’évidence qu’aujourd’hui, en France, on peut se faire tuer pour ses idées. Pour chacune de leur mutilation, les nouvelles armes du maintien de l’ordre, grenades ou flash-ball manquent de tuer. À chaque…