[Nantes] La ballade des luttes (16 & 17 sept)
Published on , Edited on
Themes: Histoirelutte ouvrière
Places: Nantes
à l'angle de la rue Désirée Comlombe et Arsène Leloup
LA BALADE DES LUTTES,
Suivez la ligne rouge.
Le 16 et 17 septembre, dans le cadre des journées du Patrimoine et du Matrimoine, l’IHS CGT 44 vous emmène dans les rues de Nantes découvrir le monde ouvrier nantais, des années 1880 à nos jours. Avec humanité, ferveur et joyeuseté vous êtes invités à plonger dans la vie des travailleurs et travailleuses de l’époque et surtout de leurs luttes, des plus simples aux plus emblématiques !
Deux événements (cumulables ) :
Départ samedi 16 et dimanche 17 septembre :
RDV à 14H30 à l’angle de la rue Désirée Comlombe et Arsène Leloup
Laissez vous guider par ceux et celles qui ont fait le paysage des luttes du siècle dernier.
(Durée 1h30.)
Et toutes les demi-heures, à partir de 14H jusqu’à 18H, RDV à l’Union Locale de Nantes CGT et venez visiter les locaux emblématiques qui servent aujourd’hui à la lutte des travailleur.euses et des militant.es ! (Exposition photos sur les mouvements sociaux, épisode théâtral, visite des locaux, pot de l’adelphité…)
Au plaisir immense de voyager ensemble dans le temps passé !
Organisé par l’IHS CGT 44, avec la participation de militant.es et de comédien.es du SFA CGT (Syndicat français des artistes-interprètes)
“venez visiter les locaux emblématiques” on parle bien de la gare de l’État, obtenue par certains syndicats à travers une compromission pas possible avec la mairie et qui a poussé à abandonner l’historique bourse du travail à son triste sort ?
C’est quand même cocasse de faire passer le patrimoine de la trahison pour de l’histoire des luttes.
Salut Fernand !
Qu’est-ce qu’aurait du faire les syndicats à l’époque, sachant que la mairie avait muré l’entrée de la Bourse, notamment pour que les sans-papiers que la CGT accueillait n’ait plus d’espace de retrouvailles (on voit là une grande tradition socialiste municipale) ?
Et quelles sont les compromissions syndicales dont tu parles ?
Bien à toi,
P. Monatte
Rédacteur à la Vie Ouvrière