[nantes] genre et espaces urbains
Thèmes : EspaceGenreMétropoleUrbainUrbanisme
Lieux : Nantes
Premier rendez-vous : table ronde le 14 octobre 2014
Table ronde en présence Chris Blache, Consultante en Socio-Ethnographie et co-fondatrice de «Genre et Villes», Plateforme de réflexion et d’action sur les concepts identités et territorialités et Yves Raibaud, Géographe et coauteur de l’étude menée par la Communauté Urbaine de Bordeaux sur le genre et l’espace public.
Mardi 14 octobre 2014 - À 18h30 À l’Espace Simone de Beauvoir
25, quai de Versailles - 44000 Nantes Ligne 2 / Arrêt St Mihiel Renseignements : 02 40 12 15 18 Entrée libre
Comment se manifeste le genre dans l’espace public ? Les femmes perçoivent-elles l’espace urbain de manière différente des hommes ? Plus particulièrement, comment les femmes se saisissent-elles de la ville de Nantes dans leur quotidien ?
La volonté de l’Espace Simone de Beauvoir est de mettre face à face la question du genre et les enjeux de l’espace urbain, de demander si les femmes ont droit autant que les hommes à l’espace public. Les travaux pionniers de Jacqueline Coutras (1996), ceux plus récents de Marylène Lieber (2008) ont montré les inégalités d’accès aux villes françaises pour les femmes, inégalités le plus souvent liées au sentiment d’insécurité dans les espaces urbains.
L’Espace Simone de Beauvoir souhaite interroger la place des femmes dans la ville en apportant des outils d’observation et d’analyse de leur environnement et en trouvant des solutions durables qui soient profitables à toutes-s les habitantes-s des quartiers nantais.
L’ambition de l’Espace Simone de Beauvoir est de fédérer les acteurs institutionnels nantais, les actrices-eurs associatives-fs et toutes les citoyennes volontaires afin d’impulser une opération d’envergure consacrée au genre dans l’espace urbain, pour déconstruire les stéréotypes de genre, tout en construisant des solutions d’intérêt général pour toutes et tous.
L’Espace Simone de Beauvoir est déterminé à associer les femmes à ce grand projet en les rendant actrices de leur propre sécurité, favorisant ainsi la théorie de l’empowerment 1 et les concepts de démocratie participative.
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