Perdus de vue scolastique

 

Bonjour,

Je suis la fille d’un gros blanc français nommé Xapa xava, et d’une mère dépossédée de son nom, mince, noire algérienne, (Noir râle), désignée Aha.

Dès  l’école maternelle, j’ai perdue de vue mon frère et ma soeur . Puis, toute ma famille afrcaine.

Aujourd’hui, depuis 11 ans, je suis soignée en psychiatrie par un psychiatre aryen nommé « Alexandra lécher la cuiller du père », qui m’a possédée comme personne de cette façon :

Alors que je n’ai jamais pu me plaindre de mes viols à la police ou à personne, elle a reniflée ma chatte qui dégageait une odeur de pourri. Puis, elle m’a fait sentir la sienne, fraîche, pour me rappeler à l’odeur de mon innocence.

Ensuite, elle a regardé dans mes yeux la révolte de mon impuissance contre l’horrible destin de ma mère qui, bien que possédant me minimum vital est morte de perte massive de calcium et d’asphyxie.

Ma mère est morte décharnée sans que je puisse rien y faire, et est morte au même âge que mon père, mort d’obésité cancéreuse.

Aujoud’hui, en semi liberté de la psychiatrie, je pense souvent à Dali, le peintre du signe du taureau aux couleurs noir, blanc et jaune, et à la première lettre de l’alphabet, éludée en afrique pour inscrire l’ordre chrétien des noirs : le X.

Je voudrais donner de manière posthume à ma mère le nom égalitaire de XaYa, afin de construire un laraire dans notre appartement commun ; mais pour ça, j’ai besoin de l’aide de ma sœur, qui a des droits civiques en tant que coiffeuse de policiers et de militaire …

Mais le gouffre qui nous sépare est que chaque fois que notre mère Aha, mariée à Xapa xava achetait un livre de contes, ma sœur pensait que ma mère la traitait de pute.

L’X est l’équation du temps chétien qui défini le zéro ou le un … Mais « métisse aficaine, mon environnement est parfaitement inconnu en X, et je mène, handicapée une vie de zéo.

Pour nous, trois enfants né de gros blanc français normal dans un monde où 3 milliards de gens meurent de faim et de soif, qui a épousée une mince noire esclave domestique sans cesse moquée en X, il existe une inconnue : le x est l’équation du temps, et toujours, des blancs nous demandent quelle heure il est … Et avons été violé ou battu chaque fois que c’était pour nous l’heure de manger ou de se réchauffer dans l’oubli du monde et de nous même, mais pas des prédateurs qui en profitaient.

Aujourd’hui, orpheline de mère et dégoutée des gros blancs qui épousent des africaines sans leur faire à manger ou leur offrir de montre suisse, je pense à mon psychiatre Alexandra qui, quand je la rencontre me rappelle avec compassion et douceur que je suis folle en noir, blanc et or, pour être devenue étrangère à mes peine et à mes raisons dans un monde qui lui a volé le temps.