Plus d’une dizaine de vitres ont été brisées et des inscriptions ont été tracées à la bombe de peinture rouge sur la façade. L’une d’elles disait “Ni capital ni Etat”.

La répression qui a sévi partout en France contre les révoltés lors de la journée du 15 septembre nous a clairement poussé à agir.

Cette attaque est un signe de solidarité avec tou-te-s les rebelles du mouvement contre la loi travail.

Ni loi, ni travail !