Lettre ouverte à agnès varda
J’espère que ta conscience s’en tire bien, car avec une oeuvre « éminement politique » comme ta « chambre occupée, il n’y a guère que ça qu’on peut encore sauver. Je ne pleurerai pas sur la poignéee d’étudiants privilégiés qu’on avait logés à la résidence Santeuil et qu’on prie de partir à la…