Radisson

Premier succès, l’ampleur de la mobilisation. La quasi-totalité des lycées nantais sont désormais bloqués à chaque temps fort du mouvement. Du centre ville à la périphérie, c’est toute une génération qui prend goût à l’école buissonnière et à la révolte. A l’université, la fac est bloquée sans difficulté pour la…

+ d’infos sur la situatiion « Dissuader une tentative d’expulsion! » : https://nantes.indymedia.org/events/29737 Depuis leur expulsion, et suite a une série de manifs, les habitants du Radisson Noir occupent la rue des stocks, les numéros 7 bis, 9 et 11. Le 9 a l’aire d’appartenir au CCAS (anciens locaux des resto du…

Il choisit de ne pas respecter le devoir de mise à l’abri de toute personne humaine.  Face à la mobilisation, il a proposé ce matin dix sept places au foyer G. Roch  et le dispositif habituel : évaluation sociale et appel du 115, qui dans le meilleur des cas propose quelques nuits d’hébergement.…

La préfecture voudrait expulser le squat du Radisson demain matin, mardi 6 mai.

Il y a un an, le Collectif Un Toit Pour Toutes Et Tous (militants et sans abri) était expulsé du Lieu Unique alors qu’il réclamait un hébergement digne et stable. En 2013, suite aux actions et aux revendications portées par le Collectif, quelques places d’hébergement pour sans abri ont été…

Le risque est toujours qu’un nombre important de personnes retournent à la rue, AUCUNE proposition de relogement n’a été faite par la préfecture… En lien une émission de France-Culture du 09/09/2013 sur la « politique du thermomètre » http://www.franceculture.fr/emission-du-grain-a-moudre-l-hebergement-d-urgence-est-il-condamne-a-la-politique-du-thermometre-201

Historique rapide de la pression étatique sur Radisson Noir pour un peu plus de chiffre répressif et de logements vides face à la misère : Radisson noir est un lieu de vie, un squat, où vivent gens en situation précaire depuis le mois d’octobre 2012. Situé 10 quai Baco dans…

Les promesses de Cécile Duflot, la soi-disant fin de la politique du thermomètre se font tant attendre, le préfet à Nantes s’impatiente et nous sommes au bord d’un débarquement d’hommes en armes, au gaz etc… Qu’ont-ils fait de mal ces gens, leur a-t-on laissé le choix pour sauver leur peau…

Besoin de monde en soutien, rue Monteil près de la gare routière (quai allée Baco).