lettre d’antonin, lue le 2 mars à la journée de soutien de l’université de nanterre
Cependant, plusieurs mois ont passé depuis la fin du mouvement, et la situation dans laquelle je me trouve aujourd’hui n’est pas banale puisque mon incarcération et celle d’autres camarades sont utilisées pour pétrifier celles et ceux qui osent se mobiliser contre les violences institutionnelles.En plus d’être appliquée pour dissuader tous…