Anarchie : la vie et la joie de l’insubordination
Dans cet essai, je remplace « travailleur.euse » par « esclave-salarié.e », parce qu’il y a des nombreuses idées différentes de ce que « travail » pourrait signifier. Je considère aussi le fait que le mot « travailleur.euse » est socialement chargé de connotations flatteuses, puisqu’il masque la vraie nature…