Entre chômage et minima sociaux, galère de thunes et refus du travail, on n’échappe pas si facilement au contrôle social… Mais l’État ne nous écrase pas si facilement non plus.« Ils veulent nous forcer à employer notre temps à produire ce qui est intéressant pour eux : des marchandises dont la vente engendrera du bénéfice, que ce soit des canons ou des paquets de chips, du travail qui participe à la reproduction de l’ordre social présent, par le contrôle, la surveillance, la répression, l’encadrement. »