[nantes] : manif du 4 octobre : photos
Catégorie : Local
Thèmes : ArchivesResistances
Lieux : Nantes
Plage des resistances
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C’est joli ce qu’ils font place des résistances. Comme j’avais pu le dire avant en d’autres temps et aussi en d’autres lieux avant que je sois contraint à l’étude intensif des circuits 12 volts. Il y a bien une idéologie: « la fin du travail » avec la reprise presque conforme de G. E debord sous forme de jeux de mots.
Il faut prendre Debord, un écrivain. Avant d’être le penseur autoproclamé de ceux qu’il n’a cessé de combattre. G. E Debord est d’abord un écrivain et c’est en poésie qu’il faut chercher une de ses sources. Son admiration pour Lautréamont (surtout pour les textes moins connus comme poésie 1 et 2, critique de shakespeare par détournement…) et ses visions devant un monde horrible et scatophyle (détournement du roi des aulne et plaisir de la cruauté) ont autant d’importance dans la vision de Debord que Marx et le travail aliéné. Pour qui lit le capital, il faut noter que Marx ne parle pas d’aliénation dans le capital mais dans les écrits de jeunesse.
Donc, chez Debord la société du spectacle est écrasante, étouffante et il partage le pessimisme de tout protestant héritier des jansénistes (qui ne sont pas connus pour leurs joies de vivre). Donc, quand G. E Debord dit « ne travaillez jamais » cela ne signifie pas n’ayez aucune activité. Cela veut dire ne tombez pas dans l’ennui du consummérisme. En deux mots et pour citez Nietzche « il faut être artiste de la vie ». Il ne faut pas céder à la dépression du temps présent. Mais il le dit sans trop y croire car le pessimisme l’a déjà vaincu. Il se trouve que Debord est conforté par Marx qui voit dans le procès de travail, un vol de la plue-value et une dépossession de l’ouvrier de son travail (de la manufacture à la fabrique). Le fordisme, le taylorisme… suivront pour appuyer cette vision du travail. Le travail est répétitif et l’ennui se propage. Debord vivra de ses activités d’écrivains. Le livre comme marchandise intègre le cycle de la marchandise avec ses différentes usures. D’où ne travaillez jamais ne signifie venez militer à l’extrème-gauche.
Cela dit, le productivisme, les innovations techniques et la financiarisation de l’économie me semble destructeur de travail. Pourra-t-on continuer de vivre de crédits? Le compte à rebour est-il lancé?
bien à vous,
samuel
Ah, les journées d’action unitaires, les manifs planplan au rythme des Motivées (la macarena du gauchiste ?), les discours plein de suffisance des leaders syndicaux, les terrasses de bistrot blindées de fonctionnaires bardés d’autocollants…
Heureusement, pour égayer tout ça, y’a place des résistances qui nous propose une « initiative de réapropriation de sa colère » qui consiste à faire le clown planqué derrière une citation vaseuse d’alphonse allais et des barbouillages de beauzardeux, et regarder la manif passer de l’oeil narquois de celui qui a tout compris.
Mais sérieusement, où est la résistance dans tout ça ? Occuper un espace public ? L’espace en question a déjà été négocié par les grands chefs syndicaux qu’on prétend critiquer. Faire entendre une critique radicale ? C’est sûr qu’un pantin en carton représentant « le gros capitaliste à cigare qui va manger la terre », c’est subversif… (d’ailleurs l’obésité est plutôt un facteur de discrimination sociale, au cas où vous n’auriez pas remarqué). Par contre, pas un mot sur la participation de syndicats de policiers, de matons ou de contrôleurs de la TAN à la manif, rien sur la guerre sociale qui se joue en ce moment contre les chômeurs ou les sans-papiers. Bref, juste un jeu d’esbroufe sans lendemain, un « moment festif* » pour jouer au révolutionnaire entre deux bières au café du coin.
En attendant, les « convergences d’énergies de façon festive et néanmoins revendicative », elles ne sont pas là quand je vais à un rendez-vous imposé à l’ANPE, ou quand je vais quémander des tickets de rationnement au CCAS; elles ne sont pas là quand la PAF rafle des familles entières de sans-papiers pour remplir ses quotas. Est-ce que c’est par peur de froisser les braves fonctionnaires qui ont défilé il y a peu pour leur pouvoir d’achat ? Par peur de croiser des vrais pauvres, des pas propres, des qui puent, qui parlent pas français, qu’ont pas de conversation parce qu’ils ont pas lu Lafargue et proudhon ?
Demain je vais à l’ANPE, je vais devoir trouver un pipeau quelconque pour ne pas me faire proposer une formation de gardien de prison et conserver le peu de revenu qu’on veut bien m’accorder – peut-être que le guichetier qui va me recevoir sera festivement en colère de s’être levé ce matin faire ses huit heures et me radiera avant de partir en pause syndicale discuter de la prochaine grande manif unitaire pour son pouvoir d’achat. Je suis sur qu’il sera content de vous y revoir.
—
* Quand on pense que, dans les années 80, des mois d’affrontement à coup de barre de fer entre sidérurgistes et CRS n’ont pas empêché la fermeture des aciéries, on se dit que la france d’en haut doit bien rigoler quand elle lit ça.
Ah, les râleurs habituels d’après la boum où ils sont probablament restés cinq minutes pour en donner un aperçu tellement inexact… Dommage donc que tu ne te sois pas attardé,tu serais tombé sur les beauzardeux (!!!) d’AC qui t’auraient donné leur prose et leur point de vue sur le contrôle des chômeurs nouvelle formule, t’auraient proposé de participer aux actions qu’ils mènent en ce moment à l’ANPE et à l’AFPA qui ont lancé une grande campagne de mise au pas, t’auraient invité à leur permanence pour discuter de tes rendez vous à l’ANPE, de tes ruses, des leurs (on peut se refiler des tuyaux…). On aurait pu causer de réappropriation plus collective que les après coup râleurs… A+ donc.
Ils sont pénibles les râleurs à douter des organisations syndicales, des associations,… Ils sont pénible de dire que leurs situations ne s’améliorent pas. Alors que c’est évident toute ce beau monde travaille à un monde meilleur et les actions sont toujours très efficace. AC c’est même pas des chômeurs et leur chef est payé pour militer par son syndicat. Ah, les râleurs… Elle est pas belle la vie? Heurement que Marie va me donner un aperçu exact du monde, je devenais bête et stupide…
samuel
je me lassais de lire voici paris match et jours de france heureusement j’ai indymedia nantes
RUMEURS RAGOTS CALOMNIES -VOICI INDYMEDIA-
Pour philipa
Continue à lire paris match… Chritophe aguitton (LCR) n’est plus le chef d’AC, il n’est plus manager payé du mouvement social? En tout cas cela ne change rien à mon propos. C’est incroyable, on peut pas remettre en cause les associations et les syndicats malgré la casse sociale. On tombe tout de suite sur le gars (ou la fille!) qui va ridiculiser le propos. On ne peut pas se contenter de dire, c’est la faute au gouvernement. Donc, continue à lire Indymédia et va faire un tour à Eurodisney… Donc, il n’y a pas de rumeur, de ragot et de calomnies jusque-là. J’en ai ras-le-bol des gens qui font dans le mouvement social ce qu’il critique dans la société (pensée officielle non-critiquable car diffuser par le maître d’office de la croyance officielle- Le Pape, besancenot, Sarkozy,…). Tu devrais aussi lire « rouge » le magazine des illuminés de la lcr et des permanents syndicaux ou autres presses du même type. Une question:
C’est tes copains que je critique (je suis désolé mais j’en ai marre de cette mentalité de moutons et de casimir dans les mouvements sociaux.)
samuel
Critique / compte-rendu de la manif du 4 octobre à Grenoble:
http://nantes.indymedia.org/article.php3?id_article=6552.
Question du jour : que faisaient Samuel et autres caféines avant qu’Internet existe ? Comment occupaient-ils leurs soirées de donneurs de leçons, de ceux-a-qui-on-ne-la-fait-pas ?
Peut-etre vaient-ils des ami-e-s ou au moins de vagues connaissances qui, stoïquement, supportaient leurs cours et conseils avisés ?
Mais voila, tout à une fin. Et les ami-e-s, ou supposés tels, s’en sont enfuis… Heureusement, il reste le web.Dont Indymedia qui ne méritait pas ça…
Ca me rappelle les deux petits vieux du Muppet Show qui radotaient leurs certitudes à la fins de chaque sketch…
Tiens, c’est marrant, c’est mon deuxième message sur indymedia (comme toi d’ailleurs). Si on devient donneur de leçon-radoteur-empêcheur de tourner en rond au bout de deux messages, qu’en est-il des gens qui la ramènent à longueur de réunion ?
Je me contente juste de relever un fait, l’absence totale de ces gens qui prétendent nous permettre de nous « réapproprier la colère » là où l’oppression et la misère sont le plus criants, là où le besoin de solidarité concrète est le plus pressant. Ce que je vois là, c’est ce qui se passe depuis des décennies de mouvements sociaux, des individus forts en gueule, bien à l’aise dans leurs privilèges de classe, d’éducation, de couleur de peau, de sexe, d’adhésion à l’hétéronorme se poser en théoriciens de l’orthodoxie militante, recréer une micro-société articulée autour de leurs « valeurs » et surtout revendiquer le monopole de la contestation radicale façon « t’étais pas là, t’as rien à dire ».
Comment le dire pour que vous le compreniez ? Quand on fait le pied de grue devant Waldeck en soutien à unE arrêtéE, pas de PDR; pas de PDR quand tu dois jouer le « bon pauvre » devant le commercial EDF pour qu’il accepte d’étaler les paiements de ta dernière facture; pas de PDR non plus quand les flics contrôlent trois fois ton identité en une demie-heure. Par contre, une « grande journée d’action unitaire » bidon et tout le monde est là pour se montrer et y aller de sa « contestation festive », le tout dans un espace contrôlé, réglementé, fliqué… et pour quoi ? Une augmentation du pouvoir d’achat de ceux-là même qui constituent les rouages de la multinationale france, qui auraient le pouvoir de tout arrêter s’ils le voulaient vraiment.
Moi, ça me ferait plutôt rire s’il y avait juste cette volonté d’exister dans le monde du spectacle marchand; ce qui me fait rire jaune c’est que PDR (ou Chiche, ou autre bidule du même acabit) se serve du travail militant sincère de milliers de personnes depuis des années pour faire du marketing creux et du spectaculaire, mais surtout rien de concret. Ah si: barbouiller des affiches de pub de slogans sexistes (« la pub nous viole, violons-là ». Quel talent.)
Si vous ne vous rendez pas compte de l’obscénité qu’il y a à utiliser des situations de souffrance et d’oppression quotidienne pour se faire mousser, je crois qu’on ne peut plus grand-chose pour vous. Mais c’est vrai que l’empathie ne semble pas faire partie de l’attirail militant…
Peut-être que ce qui gêne certaines personnes dans tous ces commentaires sur indymedia, c’est l’apparition au grand jour d’une contestation de la militance traditionnelle qu’on ne peut plus passer sous silence aussi facilement. Merci à l’Open Publishing de permettre au moins ça (et qu’on ne me dise pas que je ne prends pas mes responsabilités, si mes contributions sont signées c’est pas pour rien).
Ah oui, et merci de ne pas me confondre avec Samuel, que je ne connais pas et dont le premier message est un fatras verbeux incompréhensible pour moi.
Mon premier message est volontairement pompeux parce que je trouve PDR pompeux. Pour l’autre qui me demande ce que je faisais avant que Internet existe et bien je dirais que je n’ai pas connu cette époque sinon j’occupe mes soirées comme tout le monde (sport deux fois par semaines, soirée avec mon amis, avec des copains, en famillle, …), c’est bête comme question (en tout cas j’évite les groupes militants doneurs de leçon, véritable club de sociabilité qui se gargarise de la misère des autres). Pauvre Indymédia, elle ne peut pas donner tranquillemment la parole au politiquement correct de la lcr. Je ne connais pas non plus caféine qui agit en son propre non et c’est bien de dire ce que l’on pense en son non, de ne pas s’abriter derrière l’anonymat pour donner la bonne parole officielle des groupes alters, subversifs et autres gens qui s’écoutent parler en pensant lutter contre une quelquonque doxa. De plus Spartak utilise un pseudo faisant référence à une lutte (antiquité ou allemagne) qu’il n’a pas connu. Qu’il utilise ce pseudo pour écrire est quasiment obsène (en tout cas très prétentieux et vulgaire).
samuel
La réalité marchande a gagner. A l’heure d’aujourd’hui il faut monter son CV militant pour être autorisée à formuler un avis. Sinon, c’est toujours les mêmes conneries. Vous-êtes qui ? Que fais-tu ? Quel était ton ancien club (football) militant ! Le babacoolisme est partout ; et pendant ce temps le medef avance ! La réponse qu’on lui donne sont des pancartes et des formules creuses.
Pourquoi est-vous en colère ! Le gouvernement de Villepin a comme priorité les classes moyennes. Celui-ci l’a annoncé hier à France télévision.
Samuel, toi qui semble doté d’un certain esprit critique et d’analyse (et d’une certaine culture), je trouve tout de même dommage que tu t’égares parfois et ne peux que te convier dans une de nos nombreux réunions/actions associatives et/ou politico-millitante.
Je connais bien le « mouvement alternatif de résistance nantaise » (si je puis me permettre de l’appeler ainsi) et t’affirme que tout n’est pas à renier, mettre à la poubelle, il y a de belles initiatives et des revendications qui valent le coup qu’on s’y attarde et même qu’on soutienne.
De plus si la révolution n’est pas prête de se faire dans la rue (sic), tu n’es pas assez naîf pour penser qu’elle se fera sur internet.
Allez Samuel, éteins ton ordi et viens donc respirer avec nous l’odeur âcre de la lutte, souvent désespérante, parfois réjouissante, toujours nécessaire.
Olive.
Un commentaire a été supprimé selon la charte pour propos mensongers et diffamatoires.
_ Il est visible pour vérification là
Ecrit dans un style bien à lui, la conribution de celui qui utilise le pseudo de Drieu est enlevé pour propos diffamatoires et mensongers selon le rapporteur d’Indimédia, Valk. Pourtant ce message ne contient ni propos diffamatoires, ni propos mensongers (au sens juridique du terme). Si vous avez affaire avec un avocat (ou autres professions relatives aux droits) vous pouvez vérifier en lui présentant l’article. Vous pouvez aussi aller à l’université pour le présenter à un professeur de droit civil.
Est considérée comme diffamation « toute allégation ou imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé » (article 29 de la loi du 29 juillet 1881).
Pour qu’il y ait diffamation il n’est pas nécessaire que la personne, l’institution ou le groupe social soient expressément nommés, il suffit qu’ils puissent être clairement identifiables.
Dans le cas de la diffamation, l’intention coupable est présumée et il appartient à l’auteur de la « diffamation » d’apporter la preuve de sa « bonne foi ».
Une démonstration toujours difficile puisqu’elle exige que soient réunies au moins quatre conditions : la sincérité (le diffamateur croyait vrai le fait diffamatoire), la poursuite d’un but légitime (le souci d’informer et non de nuire), la proportionnalité du but poursuivi et du dommage causé et le souci d’une certaine prudence.
Donc, on peut dire qu’affirmer qu’une manifestation relève de la mascarade ne permet pas d’affirmer qu’il y a « diffamation ». Dire que le chef de pdr est un homme blanc ne relève pas de la diffamation puisque l’autogestion n’est pas un point vue juridique.
Bref, peut-on dire qu’il y a injure: « L’injure est, elle, « toute expression outrageante, termes de mépris ou invective qui ne renferme l’imputation d’aucun fait » (article 29 de la loi de 1881). Commise envers les particuliers par le biais d’un réseau électronique et non précédée de provocations, elle est punie d’une amende de 12.000 euros (article 33). » On ne peut donc pas dire qu’il y a injure puisqu’il y a des faits imputés (le fait d’occuper le terrain de la contestation pour ne rien faire par exemple).
Reste le propos mensongers: en l’absence de juridiction compétente, on peut dire que Indymédia occupe la place. Elle juge donc les propos « mensongers », c’est à dire différent de la réalité. Elle est juge et partie puisque composée de membre issue des mouvements remis en cause par celui qui utilisent le pseudonyme de Drieu la Rochelle. Ce dernier ne peut que mentir puisque la réalité qu’il décrit ne correspond pas à la réalité des membres qui composent Indymédia (qui nous disent qu’ils sont dépositaires d’une justice parfaite puisque tout le monde peut intervenir- Indymédia, c’est toi, c’est moi,…). Vu le principe de fonctionnement d’Indymédia (un soviet sans chef et sans dispositif de organes des bureaux politiques de la lcr et du scalp) on peut donc en déduire que la justice rendue par Indymédia ne peut pas être de la censure puisque le fonctionnement est démocratique. Bref, le soviet suprême rend son jugement et exclue ce mail. Il ne faut pas dire que c’est de la censure. Cela serait mal vu. A une époque il ne fallait pas dire que les démocraties populaires n’étaient ni démocratique, ni populaire. Les temps changent…
Préférant la justice bourgeoise (même si elle est injuste) à une pseudo-justice populaire pour la définition des mots (l’arbitraire des gauchistes est terrible), je pense que le mail de Drieu est enlevé parce qu’il critique un peu trop les comités de contrôle de la rédaction d’Indymédia (à savoir le SCALP et la LCR). Les critères invoqués par Valk sont nuls et non-avenu (après lecture de leur charte de fonctionnement). Donc, c’est de la censure.
c’est vrai que les contributions du scalp et de la LCR sont légions sur Indymedia Nantes.
Bien vu…
c nouveau , c le scalp et a lcr qui controlent indymedia nantes , de plus pour ceux qui ne sont pas au courant c’est aussi le scalp et la lcr qui controlent les autoroutes du sud de la france et c’est aussi le scalp et la lcr qui sont majoritaires au conseil d’administration de mac donald (mais c une secret donc chut faut pas le dire)
on aura tout lu et entendu sur indymedia , tant de betise me laisse perplexe
comme beaucoup d’association indépendante proche du mouvement social, indymédia est très proche des analyses du scalp ou de la lcr. Beaucoup de gens de son collectif de modération sont proches (voir adhérente) de ces sensibilités. Je ne crois pas que l’on laisse la moitié de son cerveau à l’entrée d’une association (même si c’est Indymédia). De plus beaucoup de communiqués (ou de commentaire) sont écrits par des personnes issues de ces sensibilités. Il faut être naïf pour pas le voir, ou tout simplement politicien. L’ironie du dit momo semble à l’image de la bêtise qu’il voudrait dénoncer. Si le dit momo a un doute sur les sensibilités politiques des articles et commentaires présents de ce site une simple conversation avec des gens du collectif ou une recherche d’origine des communiqués suffira à discréditer son propos (qui se cache derrière sud? ac?…) . Le dit momo gagnerait à être moins faussement offusqué et par le fait même, plus honnête.
De plus, rien n’est dit sur le retrait du commentaire du dit Drieu. Ce que fait Valk et ses copains, c’est de la censure. Il ne faut pas parler d’indépendance quand on est sous perfusion de sectes d’extrème-gauches.
Je suis pleinement satisfait de la grosse de Palace des Résistances. Il y
avait du bon son (j’aime la musique de babacool), des gens motivés qui
faisaient plaisir à voir, de gigantesques banderoles avec des conneries
marquées dessus (des slogans de type scalp-lcr), des stands de soupe
(tracts, autocollants, Voici)… bref, on se croyait au cirque. Et dire
que certaines personnes font de longues réunions pour arriver à un tel
niveau d’oscénité. C’est sûr, le patronat (en collaboration avec la cgt) a
gagné. Où est le rapport de force efficace que vous prétendiez construire
? Vous ne faîtes qu’entretenir le Spectacle et non le détruire. Vous
auriez au moins dans un permier temps le détourner en vu de la dépasser,
mais cela est resté à l’état de vide.
Est-il obligatoire d’adhérer à un club militant pour s’intégrer au Palace
? En ce qui concerne le Chef de pdr (c’est forcément un homme, blanc),
faut-il s’abaisser plus bas que l’ombre de son chien pour obtenir des
points gauchistes ? Je vous souhaite donc que du bonheur. Je ne peux
malheureusement pas vous aider, il faut que j’aille pointer régulièrement
dans des endroits où pdr n’est pas présent.
Drieu la Rochelle
En ce qui concerne le Chef de pdr (c’est forcément un homme, blanc);
primo il n’y a pas de chef dans un collectif
deuxio si c’etais le cas se serait pas illogique car stastistiquement a nantes dans le monde politique , syndical , il a plus de chance d’etre un homme blanc qu’une femme noir ; sinon je trouve facile de se plaindre quand on en fout pas une ( a part gueler contre indymedia (si t’es pas content va ailleur, par example je n’aime pas le jazz dc j’evite d’aller a un concert pour dire que c nul) ou essayer de diviser le milieu militant)
« Beaucoup de gens de son collectif de modération sont proches (voir adhérente) de ces sensibilités » faux
de plus le simple fait de signer un commentaire drieu la rochelle meriterai sa censure , sans parler des son contenu mais bon faut pas non plus trop lui en demander
Le dit momo vous dit que ce n’est pas lui qui a posté le commentaire un peu plus haut.
Pierre Eugène Drieu La Rochelle (3 janvier 1893, Paris – 15 mars 1945, Paris), romancier et essayiste français.
Pierre Drieu la Rochelle est issu d’une famille déchirée par les problèmes conjugaux et d’argent. Il fut par la suite traumatisé par l’expérience de la Première Guerre mondiale, durant laquelle il fut blessé trois fois. Proche des surréalistes dans les années 1920, il n’intégra néamoins pas ce courant artistique.
Dénonçant la décadence matérialiste de la démocratie, tout en critiquant la doctrine hitlérienne, Pierre Drieu La Rochelle est l’une des figures de proue des « non-conformistes des années 30 ». Nourri des idées de Charles Maurras mais aussi de Pierre-Joseph Proudhon, fortement influencé par l’aspect esthétique de la politique à l’ère des masses, il se laisse d’abord tenter par le fascisme et adhère un temps au Parti populaire français (PPF) de l’ex-communiste Doriot. Dans les derniers mois de sa vie, il avoue dans son journal secret son admiration pour le communisme stalinien.
Pendant l’occupation nazie il devient directeur de La Nouvelle Revue française (NRF) et un ardent défenseur de la collaboration. À l’approche de l’effondrement du monde « fantastique » sur lequel il fantasmait, malgré le réconfort que lui apporte André Malraux qu’il traite «d’agent soviétique», il se suicide et évite ainsi d’être fusillé. Sa mort sera utilisée pour lui conférer une figure de martyr par l’extrême droite française collaborationniste.
Toute sa vie il a été douloureusement déchiré entre ses idées et ambitions politiques et la médiocrité (à ses yeux) de sa vie. Il était fasciné par l’ordre, la hiérarchie et la puissance, idéalisés dans le nationalisme. Il souhaitait ardemment l’unification politique de l’Europe.
On peut voir dans son œuvre l’influence de la lecture de Nietzsche, tel qu’il était interprêté à cette époque.
Avec mes potes on a voté et on a décidé de remettre la contribution du dit drieu. Ensuite on a bu un verre de vin et on était content.
Le libertaire est un ange, il croit à un monde sans hiérarchie. De plus, il croit à l’unité. Il faut un vétérinaire, la pauvre bête souffre de la gauchistite une maladie (non léthale) mais qui conduit tout droit à la marginalisation sociale dans le monde comptemporain. Quand à Drieu La Rochelle, mieux vaut lire P. Drieu la Rochelle que les conneries du scalp ou de la lcr.
Critiquer est une chose. Cela peut même devenir un art.
_ Mais la critique pour la critique, la critique pour calomnier, jetter l’opprobe, c’est déjà moins… m’enfin, c’est pas hors charte*.
_ Par contre, critiquer et baser ses critiques sur des erreurs, et par ce biais, coloporter des fausses informations, ça s’appele comment ?
Je n’ai pas souhaité censurer les propos de Drieu parce qu’il critiquait Plage des Resistances. Il en a évidemment tout à fait le droit. Je n’ai pas même demandé à virer le critique sur Indymedia expliquant que les modérateuricEs (eh oui, y’a des filles !) sont tous à la lcr, tellement ça nous a fait rire !
_ Mais quand Drieu dit «
« , il colporte deux erreurs graves.
– la première sur la notion de chef. Il est évident que dans tout collectif, il y a des personnes plus influantes que d’autres en fonction des moments. Cependant, ce collectif a souhaité rester très vigilent sur cette notion. Il y avait donc des « responsables » mais le mot chef a été soigneusement décortiqué, et le comportement évité au maximum du possible. J’ai pu le constater sur « Place » même si j’étais moi aussi dubittative pendant un temps.
– la deuxième erreur est sur la notion d’homme : c’est ballot, mais la seule personne à qui des individuEs ont fait un retour négatif sur son rôle peut-être trop central (normal, pour une regisseure !) était une femme !
Bref, j’aime bien les critiques, mais quand je sais qu’elles sont basées sur de gros à prioris et qu’elles propagent des données fausses, je réagis.
Est-ce que cela méritait la censure ? Il faut se rappeler au préalable qu’Indymedia n’applique pas une censure à proprement parler (puisque les articles ou commentaires sont toujours visibles), mais bon, c’est un détail technique.
_ Il est possible que je me sois énervée, saturée que j’étais d’une semaine de commentaires tous plus critiques et grognons les uns que les autres, sans compter le nombre de commentaires limites ou franchement hors charte que nous avons reçu.
_ Nous avons beau expliquer que les commentaires ne sont pas un forum, mais sont censément là pour expliquer un texte, une info, lui apporter des précision ou infirmer des erreurs, certainEs s’entête à l’utiliser comme défouloir.
Bref, des amis de Drieu ont remis le commentaire en ligne. Et alors ? On va jouer au chat & à la souris maintenant ? Le seul avantage que je vois à cette situation est que cela provoque du coup un vrai débat de fond au sein de l’équipe des modérateuricEs d’indymedia nantes. Cela tendrait à prouver que nous ne sommes pas tous-tes d’accord, pas tous-tes identiques, pas tous-tes à la lcr… C’est dingue, non ? Nous vous tiendrons évidemment informés des conclusions de ce débat.
*[
]
Serait-il possible d’enlever ce genre de mots « modérateuricEs ». Ces énervants à lire et puis le jour ou vous écrirez dans la vrai vie (lettre d’embauche, contacts avec les institutions,…), il ne vous sera pas possible d’employer ce genre de mot. De plus, la féminisation des mots ne garantit pas la suppression des rapports de domination dans les rapports sociaux entre sexe, la linguistique est explicite la-dessus. Il est aussi ridicule de mettre la défense du féminisme dans ce genre de mot incompréhensible que de se mettre en monokini, quand on est une fille, sur la plage (avec le risque de mélanome en plus) ou de porter des strings. Pour conclure et pour que les mails soient facile à lire, il serait sympa d’enlever ce genre de mot.
merci.
IL est clair que la feminisation des mots n’abattera pas a elle-seule le patriarcat et la domination masculine, il n’en demeure pas moins que les structures verbales sont le reflet des structures mentales, et modifier le langage est au moins le préalable à toute transformation des rapports sociaux de sexe. Donc ne plus féminiser les mots : certainement pas ! De plus, invoquer la difficulté à la lecture pour ecarter les tentatives d’eviction du langages genré, m’ennuie. Lutter contre les reflexes androcentrés demande un effort, ne fuyons donc pas ce défi par facilité.
On peut se referer à cet article qui me semble remettre les choses au clair -> Sur les débats autour des pratiques sexistes dans le milieu militant nantais
Après un message comme cela il n’est plus possible de douter que les idéologies gauchistes (lcr et scalp) sont entrain de gangréner vos cerveaux. Je me propose donc de vous aider:
1) Fait une recherche toi même sur la féminisation des mots dans les langues qui peuplent la terre d’une part et d’autres parts sur les règles syntaxiques qui régissent l’organisation et la cohérence d’ une phrase dans ses mêmes langues.
2) Essayent de chercher les liens avec les structures familiales, les modes d’organisation et surtout avec les modes de domination.
3) S’il n’y a pas de corrélation, c’est bien le fait que la séparation féminin/ masculin à l’intérieur de la langue pour définir une identité personnelle ou sociale (en genre et en nombre) est un évènnement indépendant des modes de la domination masculine.
La langue est liée à une histoire et une cuture. Il ne faut pas tuer l’histoire ou la culture sous prétexte de relativisme culturel et d’idéologies nihilistes. Un monde sans culture est un monde sans sens.
Parler d’antisexisme pour la féminisation relève de la même abération que de continuer à autoriser le monokini au non du même féminisme (et cela malgré les mélanomes).
Je préfère être taxé de sexisme par 0,2% de la population française (certains gauchistes) et vivre en bonne intelligence avec 99,8% que l’inverse et cela en m’opposant concrètement, dans le cadre de situation réelle (travail, famille,…), aux discriminations réelles et aux diverses humiliations dont peuvent être victime « les minorités ».
Je crois que douter d’une troskoscalpisation des esprits relèvent de l’idéologie. Si les modérateurs ont rigolé… ils ont du rigoler jaune vu le mail de Valk.
Pour savaoir ce que « fout » AC ! :
———–
ac-info
AC Nantes est intervenu pendant une dizaine de jours a l’AFPA, ou 3500
chomeurs avaient ete convoques par l ANPE. Apres les teles locales —
voir nos precedents mails — voici un article paru dans la presse locale.
AC Nantes
===== Presse-Océan, le 8/10/2005 _ Extraits ====
Des militants d’AC Agir ensemble contre le chômage et la précarité se sont retrouvés vendredi dernier devant le centre AFPA de Saint-Herblain.
_ Ces derniers ont distribué des tracs pour alerter les demandeurs d’emploi de longue durée convoqués «
».
_ Selon AC «
»
_ AC /…/ a mis en place un atelier d’information et de débat sur le
renforcement du contrôle des chômeurs ne compte pas en rester là,/…/
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Enfin, pour répondre précisement à certains commentaires, AC! est formé de membres militants, de bénévoles… CertainEs sont chômeurs, sachant que leur engagement les mets hors la loi par rapport aux Assedics puisqu’un chômeur n’a pas le droit d’être bénévole !
Publier sur Internet n’a de sens que si ça sert des actions réelles, critiquer sans jamais rien faire sois même est un bon défouloir mais aussi un constat d’échec personnel qui ferait mieux de déboucher sur du silence…
Le scalp comment l’ensemble des mouvements militants n’a pas nécessairement de prétention à la perfection militante… refuser d’agir au prétexte que l’action n’est pas parfaite tient au mieux du délire, au pire de la mauvaise foi puisque la vie moyenne de l’individuE moyenNE est faite de compromissions avec le système.
Ressortir des « penseurs » des années 30 ou avant génial, personne n’y avait pensé! ça va certainement aider à avançer dans le monde de l’informatique et de la mondialisation.
En ce qui concerne les idéologies en vigueur à Indy Nantes, suffit de venir au collectif de modération les combatre en argumentant de manière construite et pratique. Perso ce genre de commentaire je suis pour les virer, les gens ont qu’a venir aux réunions de modération si les principes de modération leur plaisent pas… Les commentaires pour commenter la modération c’est relou et stérile. A priori les gens qui modèrent se posent aussi des questions et leur expliquer le monde ou ce qu’elles/ils doivent faire est inutile.