La sacro-sainte croissance, érigée en dogme absolu par nos sociétés capitalistes est une course sans fin où l’objectif est de produire, vendre et consommer davantage que l’année précédente.
La décroissance appelle à repenser les rapports sociaux, réévaluer les besoins, pour que nos sociétés ne soient plus structurées autour de l’impératif de croissance infinie.
VIVRE MIEUX AVEC MOINS,
voilà ce que proposent en substance les partisans de la décroissance.

Pour l’année 2017, c’est depuis le 2 août que l’humanité consomme à crédit, et de plus en plus inégalitairement. Si l’on veut faire reculer ce jour du dépassement alors on ne peut pas se contenter d’arrêter la croissance, il faut opérer un retour sous les plafonds de l’insoutenable et de l’indécence.
Si ce retour est démocratique, il s’appelle la décroissance.

Rendez-vous mardi 3 avril, pour sortir des poncifs du genre
« On va quand même pas revenir à la bougie ! » ou bien
« Allez demander aux pays pauvres s’ils veulent décroitre !« 
le Café repaire vous invite à venir rencontrer et échanger
avec Pierre Thiesset et Thierry Brulavoine, tous les deux chroniqueurs au journal La décroissance.

Journal souvent critiqué pour ses prises de position qui seraient d’après les uns, un peu « réac » sur les problèmes sociétaux ( éducation, famille, bioéthique… ) et trop critique d’après les autres quand ils écornent à gauche par exemple Jean-Luc Mélenchon pour ses visions technologistes ou bien Pierre Rabhi dans la sphère écologiste pour son manque de conscience politique ( vidéo )
Tout cela sera abordé avec eux sans détours !