Si du côté du capital, ce sont désormais les investisseurs, et non plus les
employeurs, qui exercent le pouvoir, la résistance au capitalisme ne doit-elle pas par conséquent se déplacer ?

Pourquoi et comment investir les marchés financiers comme nouveaux foyers des luttes sociales ?

Afin de défendre une autre circulation du capital, les militants qui mettent en œuvre des résistances à l’hégémonie des institutions financières puisent dans celles-ci les éléments d’un imaginaire politique renouvelé. Qu’est ce que l’empire du futur proche et le militantisme du harcèlement permanent ?

Quelles sont les campagnes actuellement menées pour une justice sociale, fiscale et climatique ? Comment agir en conscience en levant les peurs tout en étant à la fois offensif et non violent ? Comment se former et rejoindre ou constituer un groupe affinitaire de résistance créative ?

M. FEHER : philosophe, auteur, « le temps des investis », essai sur la question sociale, ed. La Découverte – propose de repenser les formes de résistance à l’emprise de la finance…
S. JALLIER : formatrice en désobéissance civile, organisation d’action directe non violente, gestes pour la gestion de réunion…
S.KERZULEC : activiste du GIGNV, retours d’expérience dans le cadres des campagnes d’ANV COP21, ATTAC, Les Amis de la Terre, Greenpeace, …

Entrée libre