La France Entière est née un soir de mauvaise lune, les pieds mouillés lors d’un énième concert d’un duo basse/batterie, dans une casse auto perdue au milieu d’un causse dépeuplé. Cette nuit-là, bien enRHUMée par un sucre de canne mal fermenté, elle hurla avec fierté son nom de baptême avant de retourner sur le dancefloor pour enlacer langoureusement les dernières crêtes et cuirs qui refusaient d’aller se coucher et dansaient, dansaient encore entre les carcasses de bagnoles et les arbre à cames dénudés.
La France Entière raconte l’Histoire issue des rêves, des songeries éveillés, des fantasmes et des délires.

La France Entière ne croit pas aux pays et les seules frontières qu’elle respecte sont les frontières du rêve, les frontières tremblantes de l’amour et de l’indifférence, les frontières du courage et de la peur, les frontières dorées de l’éthique.

La France Entière débarque à la Zad pour projeter des films, diffuser de la photographie et faire la cuisine.

Le *lundi 6 février*, elle projette à *La Freusière* à 19H un film qui s’appelle *La Buissonnière*, road-movie métaphysique et après la projection, elle paie ses pizzas autour de sa table disto-distroy.

Le *mercredi 8 février*, elle projette à *La Rolandière* à 19h un film qui s’appelle *Alléluia!*, cabane-movie métaphysique. Normalement elle fera aussi à manger.

Et en plus, il y aura des surprises.