A Porto Marghera près de Venise, le comité de la Montedison (usine chimique) ne s’est pas contenté
de lutter dans l’usine pour des augmentations uniformes des salaires et la réduction des cadences ; il a gagné la rue, s’emparant des questions du logement, du transport et, déjà, des nuisances chimiques qui touchaient toute la
population locale et pas seulement les travailleurs. Pour évoquer cette page d’histoire aux résonances
très actuelles, nous accueillerons Antoine Hasard, traducteur du livre « Pouvoir ouvrier à Porto Marghera – Du comité d’usine à l’assemblée de territoire (1960-1980) » (Les Nuits rouges, 2012).

8 décembre à 15h
Salle de conférences
Bât. Ateliers et chantiers de Nantes
2bis boulevard Léon-Bureau