[nantes] projection féministe : sisters in law
Thèmes : -ismes en tout genres (anarch-fémin…)
Lieux : Nantes
Sisters in law de Kim Longinotto et Florence Ayisi
Dimanche 18 Mars
19h, b17
Cycle Le féminisme ailleurs - Marre du blanco-centrisme !
Légaliste en afrique, révolutionnaire au japon, ouvrier au mexique et lesbien en inde, le féminisme prend beaucoup de chemins. Nous avons décidé d'en montrer quelques uns...
3 histoires de nana, à Kumba (Cameroun), où il n’y a jamais eu de condamnation pour violence contre une femme : Manka, qui a 6 ans et vient de fuir la maison de sa tante abusive ; Sonita, accusant son voisin de viol ; et Amina qui traine son mari violent jusqu’au divorce.
On les suit dans leur parcours juridique, dont les 2 personnes phare sont la procureure Vera Ngassa et la présidente de cours Beatrice Ntuba.
On voit pas mal de mecs penauds, qui se demandent ce qu’ils ont bien pu faire de mal pour se retrouver là, mais globalement, le discours des femmes dans le film, c’est de se libérer des hommes en utilisant la justice, ce qui a été permis par ces deux « femmes de loi ».
Comment venir à B17 ?
Arrêt 50 otages, remontez le boulevard bellamy, au numéro 17, rentrez dans la cours et allez jusqu’au fond, montez les escaliers, vous y êtes !
Bande-annonce :
Garde d’enfants / Crèche / Animation : à partir de cette année, pour éviter que les parents soient empêchés de venir aux projections, ou que les enfants soient confrontés à des problématiques présentées de manière un peu trash, on propose de prendre en charge les gamin.es pendant la durée du film, voire du débat.
Pour elleux, on a des films et des bouquins antisexistes, et des gentes prêtes à discuter avec elleux.
Dans l’idéal, et pour lutter contre contre l’oppression des adultes sur les enfants (merci Catherine Baker), ce serait cool de réunir grand.es et petit.es pour le débat, mais c’est pas obligé. Comme d’hab’, on fait comme on le sent.
Prix libre : les films étant parfois un peu durs à digérer, on tente d’accélérer le processus en proposant des gâteaux pendant le débat. Ca permet de se retrouver autours de quelque chose de plus doux si le film est dur, de sucré s’il a été amer, et pleins d’autres métaphores culinaro-binaires. En gros, les sous qu’on récolte grâce à la bouffe nous servent à payer la salle.
« Contactez-nous » : pour nous dire des trucs (que vous nous adorez, qu’on a changé votre vision du féminisme, nous proposer des films, nous rejoindre, même), on a une adresse mail :
embobineuses@gmail.com