LES BUSHO-OLMERTO-BLAIRIEN, EN PSYCHOLOGUES HYSTÉRIQUES QUI NOUS GOUVERNENT » ET AGITENT LEUR PROPAGANDE, VEULENT CONQUERIR « NOS AMES ET NOS ESPRITS » ET NOUS FAIRE VIVRE EN « ETAT D’INCULPABILITE » POUR QUE NOUS ALLIONS MASSACRER CES MUSULMANS QU’ILS HAISSENT TANT. POUR LE MOMENT LEUR PSY-OPS NE MARCHENT PAS.
IL EST VRAI QUE « L’ETAT D’INCULPABILITE » C’EST LE PRIVILEGE DE LA CRAPULE, DISAIT FREUD AU DEBUT DU XX SIECLE ET QUE NOUS SOMMES NOMBREUX A N’AVOIR PAS L’AMBITION DEN DEVENIR.

VOIR dans l’article les réactions aux « attentats dejoués de Londres « .

vendredi 11 août 2006 (08h05) :
LONDRES : UNE PLONGEE DANS L' »INIMAGINABLE »
http://bellaciao.org/fr/article.php3?id_article=32283

Le complot déjoué à Londres : une plongée dans l' »inimaginable »© www.dedefensa.org 10 août 2006 – Pendant une bonne partie, le Londres officiel (gouvernement, élus, presse SMS), avec les effets sur la vie courante, a vécu à l’heure de l’hystérie du plus terrible attentat (une vague d’attentats coordonnés), si terrible qu’on ne peut l’imaginer. Mais la chose a pu être évitée. Cela aurait pu être la plus terrible des choses… au-delà de toute description, d’ailleurs : « Put simply this was intended to be mass murder on an unimaginable scale. » (« à le dire simplement ceci était prévu pour être un attentat de masse à une échelle inimaginable ») On a l’air, aujourd’hui où l’on nous assure que l’attentat a été déjoué, d’en savoir plus sur cet attentat qui n’a pas eu lieu que s’il avait eu lieu.

Le communiqué du Deputy Commissioner Paul Stephenson de Scotland Yard, dont les mots ci-dessus sont extraits, est écrit en des termes haletants et hyperboliques. Il relève d’une déclaration solennelle, d’une sorte de serment d’allégeance à une soi-disant réalité, plus que du travail normal de police, avec des expressions d’affirmation de franchise déroutantes : « We are confident that we have disrupted a plan by terrorists to cause untold death and destruction and to commit, quite frankly, mass murder. « (Nous sommes surs que nous avons déjoué un plan des terroristes destiné à causer d’indiscibles morts et destructions et de carrement provoquer un meurtre de masse » )

Ce texte, ainsi que toutes les déclarations et commentaires officiels dénotent une atmosphère d’hystérie dans les sphères officielles qui est un phénomène notable. Nous faisons ces remarques hors de toute considération sur la véracité de la menace, sur les attentats évités ou pas, etc. Cette question-là est un problème de police, pas d’émotion ni d’hystérie comme elle semble être devenue. Nous observons simplement la façon dont des autorités officielles ont dévoilé l’affaire, causant un désordre considérable et installant, ou risquant d’installer cela dépend, une psychose également considérable. Le commentaire de John Williams, ancien adjoint de Jack Straw, dans le Guardian d’aujourd’hui,- d’ailleurs rédigé plus vite qu’en un éclair, – résonne étrangement, comme une appréciation involontairement ironique du spectacle offert par Londres aujourd’hui :

. « Il est capital que les ministres et leurs conseillers en communication sache précisement en ces circonstances ce qui arrive ou ce qu’ils pensent qui va arriver, du fait qu’en des temps pareils les medias deviennent le principal instrument public de réassurance.

Le premier m’avait frappé avec force le 11 Septembre 2001. C’est quand j’étais le Secrétaire de Presse de Jack Straw au Foreign Office. Nous regardions dans son bureau bruler les Twins Towers puis nous allames dans les studios de la televion. Alors que nous nous préparions, le Secrétaire d’Etat au Foreign Office dit quelque chose qui devint la principale base de son travail dans les années suivantes et maintenant le reste pour John Read, le Ministre des crises intérieures. Jack Straw tint ces propos :« Dans des moment comme celui-ci le travail des ministres est de rassurer le public que l’état reste sous contrôle ».

Bref, – qui veut rassurer qui, exactement? Et à propos de quoi? Qui veut se convaincre que l’Etat contrôle les choses? Et quelles choses? Quite frankly, (franchement!) si les enquêtes et recherches se font dans cette atmosphère, il faut que le citoyen trouve un moyen de rassurer ses dirigeants sur le fait qu’il garde lui-même son propre contrôle de lui-même.

Dans la journée, l’hystérie s’est étendue aux USA, avec le temps du décalage horaire nécessaire bien sûr, tandis que s’installait le chaos aérien. Les détails sur le complot sont devenus de plus en plus précis, venus des services occidentaux de renseignement dont on connaît la redoutable efficacité (ADM de Saddam, accueil des populations en Irak, capacité des talibans, évolution de la situation en Somalie, niveau de capacités du Hezbollah, etc., tout cela largement connu pour notre plus grande sérénité). Hier en fin d’après-midi, Paris s’était aperçu de quelque chose et Chirac-Sarkozy assuraient Bush-Blair de leur solidarité. L’atmosphère d’hystérie s’était donc habillée du conformisme habituel.

Mais le grand axe de la journée reste bien l’hystérie londonienne du matin, qui recréa le temps de l’alerte les fameuses special relationships. (relations spéciales)

Par ailleurs, comment tout cela pourrait-il se passer dans une autre atmosphère qu’hystérique, alors que les dirigeants anglo-saxons, – c’est un phénomène directement enfanté par l’axe Bush-Blair, – vivent effectivement dans cette atmosphère? Peu importe qu’elle soit fabriquée ou pas, que les menaces soient réelles ou fictives, appréciées objectivement ou artificiellement gonflées. Les dirigeants anglo-saxons ont créé une situation, un monde même, qui les conduisent nécessairement à cette sorte de réactions, qui interdisent autre chose que la mobilisation qu’on a vue aujourd’hui à Londres, et le chaos qui s’en est suivi. Ils sont dans ce monde fermé et disposent épisodiquement de l’usage de moyens de communication considérables pour en rappeler l’existence.

QUEL EN EST L’EFFET?

Le scepticisme du public

… Quel en est l’effet sur le public? Le plus intéressant dans le texte de John Williams cité plus haut, c’est certainement la partie des commentaires des lecteurs qui suit désormais les textes mis en ligne. Nous n’avons pas parcouru toute la litanie de ces réactions. Nous nous en sommes tenus aux premières, arrivées en fin de matinée, celles qui donnent une idée de la réaction spontanée. Sur la petite douzaine des premiers, on en trouve un seul qui prenne au sérieux la version officielle de cette affaire et voue les autres aux gémonies ; les autres sont sarcastiques, ironiques, moqueurs, furieux, revendicatifs.

Cela ne nous dit pas si l’alerte était totalement fondée, – et il y a de fortes chances qu’elle l’ait été, dans tous les cas dans le chef des autorités. Cela nous dit le degré « inimaginable » de défiance et de mépris où les citoyens tiennent aujourd’hui leurs dirigeants.

Comme illustration, les premiers commentaires après le texte de John Williams :

-Boldscot : S’il le savaient hier , pourquoi ne nous l’ont-ils pas dit hier.

-WoollyMindedLiberal : Et en plus la diminution des vols vers le Royaume Uni et hors de lui ne peut qu’être bonne pour l’environnement et satisfaire nos objectifs de diminution d’émission d’oxyde de carbone.

Plus étranges, les deux messages sur mon site ce matin et les 2 autres sur un autre site. Il était difficile de deviner la visée de leur circulation

-Lacanian : La bombe menace ? Et vos canulars, ne vous menacent-ils pas ?

-Eivissa : Fantastique timing pour monsieur Blair qui coup sur nous fausse compagnie pour ses vacances juste à temps.
Regardez le coté brillant des choses où en ne laissant entrer personne le ministère de l’intérieur arrive enfin à arrêter le flot des immigrants illégaux vers le pays , vive John Read .)

-Lacanian : En passant, quelqu’ un aurait-il remarqué l’invasion terrestre totale du Liban. J’ai pensé que non. C’est drole de voir comment ces « menaces terroristes » semblent renverser les priorités concernant les autres nouvelles majeures de l’agenda .

-ProfessorKSIA : :Monsieur…il y a et il n’y a pas complot. S’ils savaient qui et où sont tous les terroristes pourquoi l’hystérie d’aujourd’hui alors qu’il semble que tous sont derrière les barreaux. J’aurais eu tendance à penser que les menaces, si jamais elles existèrent en première place, se réduisaient des lors à zéro. Si c’était un complot à ce point mortel qu’est-ce qui explique que l’on agisse maintenant et pourquoi Blair fut-il autorisé à partir en vacances si l’on savait depuis un certain temps, pourquoi ces coincidences qui font que cela arrive juste au moment où les Sioniste, le GB et les U.S.A sont complices du meurtre de masse au Liban, où sont les explosifs etc, etc… Ca pue le fiasco du complot de la bombe chimique, mais pire parce que c’est un coup de Blair. Je n’arrive pas à croire tout ce langage hystérique de la police, alors qu’il ne s’est passé que quelques heures depuis que les supposés suspects étaient arrêtés on les entendait déjà faire des dépositions concrètes sur leur culpabilités des suspects. Ca pue très fort et cela se passe comme s’ils avaient planifié cet épisode depuis un certain temps …rigolade

-HeiGou : *SimonRalli : Moi, je n’y crois pas à cette menace. On dirait que nous sommes programmés pour une attaque pire avec une bombe sale et que nous sommes programmés pour être prêts à penser immédiatement Al Qaeda et non nos propres services secrets
*Pour moi j’aimerai vous voir dépouillé de votre citoyenneté et déporté pour quelque enfer. Personne de sensé ne peut penser que « nos » » propres services secrets pourraient faire pareilles chose et je pense que vous mériteriez la prison pour oser dire ceci.

*SimonRalli : Désolé d’offenser quelqu’un mais la plupart des supposés pirates du 9/11 se sont révêlés vivants et bien vivants comme nous le rapporte le Guardian entre autres.

* Vous n’êtes pas assez intelligent pour offenser qui que ce soit – nous savons reconnaître la maladie mentale quand nous la voyons. Aucun des pirates du 9/11 ne s’est rêvélé vivant et bien vivant. Le FBI qui n’avait pas d’Arabophone en 2001 s’est emmêlé dans certains noms.

-Nairobiny : Fantastique timing pour Mr Blair parti en vacances juste au bon moment … Et même qu’il ne sera pas autorisé à revenir puisque tous les aéroports sont fermés. C’est Prescott qui est en charge des affaires !

-Bennywhale :Ce qu’il ne doit pas faire en tous cas pour gagner nos cœurs et nos esprits c’est nous donner l’impression Da Lex de ces prédecesseurs et LEGIFERER, LEGIFERER, LEGIFERER
Ce que nous voulons c’est la compétence, l’intégrité et l’honneteté professionnelle. Quelque chose qui a sérieusement manqué pour la guerre en Irak, le 7/7, le scandale Stockwell et Forest .
Si John Reid fait une embardée vers plus de pouvoir et moins de liberté comme il semble le vouloir CELA sera une indication de notre faiblesse pour les terroristes. CELA montrera que nous sommes paniqués.
Et CELA leur prouvera que la démocratie est un petit système merdeux que l’on peut nous contraindre à démanteler.
Nous protégeons la démocratie,la liberté et les libertés. Comme semble le suggèrer Reid les bombes peuvent détruire les immeubles, les avions et les peuples. Nous sommes les seuls capables de détruire notre et nos propres libertés face à ce type de menace et craignons d’accepter une irréalisable promesse de sécurité contre la mort progressive d’une vraie démocratie libérale.

-Mazoldboy : Nous sommes dans un moment critique d’alerte au terrorisme, mais ayant pressé le bouton de la panique Tony Blair et John Reid devront produire les preuve concrètes que les terroristes étaient ou sont sur le point d’attaquer.
Ceci semble être comme les autres réactions – à cette étape du moins. Reid et Blair doivent expliquer leurs actions..
Cet article reflète certains de mes sentiments :
http://www.thefirstpost.co.uk/index.php?menuID=2&subID=81a

Je n’ai pas peur, je suis juste ennuyé : le gouvernement semble ici ne faire que fabriquer une situation .
N’est -ce point les plus haut niveau critique d’alerte ? Je me rappelle – qu’est ce qui vient au dessus de 10 ? dans ce cas n ‘importe quoi devient plus que critique ? Atteindrons nous le niveau suivant -alerte 10+1.

-MKD «Je suis un sceptique patenté. Le timing est trop bon pour être réaliste. Devons-nous sérieusement croire que la sécurité des aéroports est si laxiste que 21 passagers dans 10 vols différents pourraient faire passer clandestinement du matériel explosif et le faire exploser ? La drole de farce.
Ce que les forces de sécurité ont probablement découvert ce sont les fantasmes foireux d’un groupe de musulmans mécontents. C’est comme d’habitude une super-réaction colossale dont jouent les « terroristes ». Enorme perturbation du trafic, société effrayée. BON JOB LES GARS .

Ceci n’est que le prélude à une autre attaque bien plus radicale et legale sur nos libertés. Soyons prêts pour la carte d’identité obligatoire, leregistre national, le marquage de tout un chacun suspecté de quoi que ce soit.. Ceci est un grand mensonge et comme d’habitude les media obsédés par le fantasme de la certitude que la temperature a atteint des niveaux insupportables, et PERSONNE qui n’ait le cran d’appeler cette farce par son nom.

L’ouverture était évidente :Reid : « Ils ne nous aurons pas » dit-il en parlant de tout un chacun qui désapprouve la façon dont ce gouvernement autoritaire nous flique ».

Notre « inimaginable » drôle de guerre

La situation ne peut être illustrée, voire expliquée que par des hypothèses de la même sorte, – « inimaginable ». Sans plus chercher à détailler l’article mais en citant sa conclusion, on observera que la phrase de John Williams en titre de son article « The battle for hearts and minds » (La bataille pour les cœurs et les esprits ) est « inimaginable » dans sa signification profonde.

« Par tristesse nous vivons maintenant dans un monde dans lequel sortir chaque jour implique un calcul inconscient du risque si vous voulez passer à travers ces sortes de lieux publics que les terroristes pourraient cibler. Ce calcul reste inconscient pour autant que l’Etat apparaît compétent. C’est une bataille pour l’ame du public que John Reid doit maintenant gagner »

Ce qu’il nous dit in fine, si l’on a l’oreille fine, c’est bien qu’il faut « gagner les cœurs et les esprits » du public pour lui faire accepter l’idée qu’il y a une guerre totale en cours, la plus terrible depuis la Deuxième Guerre mondiale (étrange comme ils expédient la Guerre froide et sa possibilité d’annihilation de l’espèce par l’arme nucléaire), et que cette guerre est caractérisée par un danger constant d’on ne sait quoi. Il faut convaincre le public que la vie courante est un risque permanent, ce qui implique assez curieusement par rapport à une appréciation de la réalité qu’avant (avant 9/11) elle n’était pas un risque permanent. On sent bien combien cette démarche menace constamment de verser dans l’absence de sens : la vie est par elle-même risque permanent puisque nous sommes menacés constamment par la mort. Cette bataille pour imposer une perception qui est d’abord une conviction de ces dirigeants forgée par le virtualisme impose une grande tension psychologique alors que le but affirmé est de former des psychologies à un certain apaisement vigilant malgré l’état de danger.

Il s’agit de convaincre la population que la réalité est autre que ce qu’elle perçoit, puisqu’il semble que, pour les dirigeants, la population ne se perçoit pas en guerre malgré 9/11 et le reste. Jamais on n’a exposé si crûment une entreprise visant à forger une autre réalité à la place de la réalité. Il s’agit d’un temps singuliers où l’on n’hésite plus à exposer en pleine lumière une telle entreprise, et où, sans aucun doute à notre sens, ceux qui exposent cette entreprise croient effectivement que nous sommes plongés dans une guerre totale. Leur insistance redondante finit immanquablement par provoquer des effets pervers, voire inverses, en suscitant souvent le soupçon, – même si c’est souvent à tort. (Nous n’avons pas affaire, chez nos dirigeants, principalement à des comploteurs mais d’abord à des psychologies rendues hystériques.)

Jamais le virtualisme où baignent nos dirigeants n’a été si crûment détaillé; jamais il ne s’est révélé être autant une bataille pour « gagner les cœurs et les esprits »-les nôtres ou les leurs, c’est selon. Plutôt que « cœurs et esprits », il nous semble qu’il faut dire plus précisément : une bataille pour « changer la psychologie », – la leur ou la nôtre, c’est selon. Il s’agit d’une bataille entre deux perceptions du monde. L’enjeu est bien la psychologie de l’homme postmoderne, ou dit autrement : comment modifier la psychologie pour faire du citoyen l’homme postmoderne.

L’expression employée par John Williams est édifiante. C’est celle qui fut employée pour la conquête des « cœurs et des esprits » irakiens, en même temps que celle de leur pays. On a vu avec quel succès. Il s’agit du même projet. L’enjeu irakien était, pour les Américains, de changer la psychologie des Irakiens pour qu’ils acceptent le monde que leur proposaient Cheney, Wolfowitz & compagnie. Nous sommes donc tous des Irakiens.

Quant à eux, il suffit d’observer l’absurdité « accessoire » d’une situation en apparence géopolitique, en forme de cercle vicieux psychologique. Tous les actes de l’axe Bush-Blair sont posées pour soi-disant combattre le terrorisme et ont pour effet direct de renforcer l’idée même du terrorisme. L’effet indirect de ces actes est par conséquent d’alimenter l’hystérie des dirigeants. C’est une étrange sarabande où le patient entretient sa propre pathologie en affirmant que c’est là le seul moyen de s’en débarrasser.

La profonde difficulté pour comprendre les réalités de cette étrange bataille, c’est sans doute qu’il n’y a pas de réelle culpabilité consciemment réalisée. La règle est bien de vivre en état d’inculpabilité. Plus que jamais auparavant, la crise se trouve au cœur des psychologies, bien plus que dans les consciences et dans les jugements. Le virtualisme, qui n’était au départ qu’un outil venu de la propagande, est devenu une perception du monde, puis la psychologie tout court pour alimenter cette perception du monde. http://www.dedefensa.org/article.php?art_id=3019

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De : anti guerre
vendredi 11 août 2006