Les « Chantiers Navals de St Nazaire » ne contestant pas les faits, mais prenant comme prétexte le language utilisé dans le communiqué de l’USM-CGT, ne chercheraient t’ils pas à museler, voire à faire fermer le site du collectif Bellaciao, et à faire payer à l’USM-CGT ses combats et victoires syndicales ?

Est-il encore possible de s’exprimer au « Pays des Droits de l’Homme » ?

Un média libre n’aurait plus le droit de relayer l’information du mouvement social ?

Source : bellaciao.org