Dans un article à propos du livre d’Elisabeth Badinter, Fausse route, signé par Jacqueline Remy et publié dans « L’Express » du 24 avril 2003, on peut lire le passage suivant : « Elisabeth Badinter (…) regrette l’influence grandissante en Europe du radicalisme anglo-saxon. Comment pourrait-elle partager, par exemple, les accents haineux de ces féministes qui se recueillent chaque année sur les tombes des 14 étudiantes assassinées en 1989 à l’Ecole polytechnique de Montréal (Canada) par un cinglé dont elles font l’archétype du prédateur macho ? Fausse route, là encore. » L’écrivaine prétend que ces propos ne sont pas les siens, mais ceux de la journaliste.

« Quand une journaliste de « L’Express » parle de ce qu’elle ignore », par Élaine Audet et Micheline Carrier

Lire la lettre ouverte à Jacqueline Remy