On savait que le torchon Libération n’était pas à la pointe du combat antifasciste, mais comment est traité la mort du facho Roger Holeindre, crevure nationnale notoire qui est enfin arrivé là où est sa vrai place, touche à la complicité malsaine. Le « journaliste » embauché pour traité le sujet est Christophe Forcari. L’approche de l’information par ce « grand spécialiste » de l’histoire de l’extrême droite en fRance, laisse à penser qu’il fait parti de ses sympatisants. Il nous ferait presque verser une larme en parlant de l’affliction de JM Le Pen et de ses sous fifres lors de l’enterrement de cette ordure d’Holeindre. Losqu’il traite le sujet des manifs de l’extrême droite de février 1934, ça ne vaut pas mieux, aucun aspect réellement tragique ou dramatique vis à vis de cette période de monté du faschisme ne ressort dans ses écrits. Il se contente de magnifier l’action policière et militaire qui défendait la république, tout en se gardant bien d’apporter un regard véritablement critique envers les fachos.

Cette pseudo neutralité est juste caricaturale. Elle ne laisse aucun doute aux sympathies de Forcari envers les idées d’extrême droite. Après avoir fait quelques recherches sur internet, il apparait que ce journaliste a milité de 1980 à 1984 au sein du parti « Renouveau nationaliste » à Nantes. Il a ensuite dit qu’il avait infiltré ce parti, mais des témoignages de l’époques démentent cette couverture. Il s’avère aussi qu’il a écrit un livre sur JM LE PEN « Le dernier combat ». Je n’ais pas lu ce livre, mais même si il ne faut pas forcément se fier à un titre de livre (et quand bien même ce livre a été sujet d’un procès en diffamation gagné par Le Pen, maitre en instrumentalisation des médias, ne l’oublions pas), celui ci n’augure rien de très bon…