PEROU
DEFENDONS NOTRE GRAND DIRIGEANT LE PRESIDENT GONZALO!
COMBATTONS LA SALE CAMPAGNE
ET L’ILLEGAL ET INSCONTITUTIONNEL PROCES DANS LA BASE NAVALE AU CALLAO PEROU!

Au prolétariat et au peuple péruvien,
A l’opinion publique nationale et internationale.

Dans les dernières semaines le gouvernement pro impérialiste et antipopulaire de Toledo à engagé une nouvelle sale campagne. Il centre son attaque infâme contre le Président Gonzalo et camarade Míriam. A cette sale campagne promue par l’impérialisme et la réaction péruvienne et développés par certaine medias, ce sont joint des opportunistes connus, des profiteurs de la guerre, qui continuent à trafiquer et à sévir avec elle. Ce sont joint aussi des candidats frustrés à des agents de renseignements ou à des fonctionnaires. Ils apparaissent comme ‘des analystes politiques’ qui prédissent leurs dessins et vend leurs solutions répressives.

Ce défoulement réactionnaire et infamies contre le Président Gonzalo et le Parti Communiste du Pérou, montre bien les promoteurs de cette sale campagne. De pseudo ‘démocrates’ qui montre leur vrai visage réactionnaire. Ils montent un rideau de fumée pour essayer de cacher la grave crise social et l’instabilité politique du pays. Ils prouvent ainsi la caducité de l’état péruvien, qui évolue dans le cadre de la troisième décade de sa crise générale et de l’échec du capitalisme bureautique. Cette crise sociale frappe brutalement les masses populaires. Il les enfonce dans la faim et la misère, le chômage et l’abandon. Il enrichie par contre une poignée de exploiteurs. Cette politique pro impérialiste nord-américaine de Toledo, qui continue celle des régimes précédents, mène à la ruine l’agriculture et détruit l’industrie nationale. Il met en risque l’intégrité du territoire et est en train de conduire la société péruvienne à sa désintégration.

Avec leur sale campagne ils essayent de tromper le monde pour couvrir leurs violations des droits fondamentaux et leur opposition aux demandes de la population. Il s’en serve de celle-ci pour justifier et accentuer la répression sur la justification d’une ‘main dure’ et du ‘principe d’autorité’. C’est ceci l’endurcissement du régime, sa réponse brutale par l’écrasement sanglant de la juste et nécessaire lutte populaire. Il organise la chasse au révolutionnaires et de tout celui qui contrarie sa politique pro impérialiste et servile. Devienne pratique commune l’incarcération des dirigeants populaires, la persécution, semblable à celle de l’inquisition, même dans les travailleurs des institutions publiques ou dans les universités et même contre les élèves de l’école secondaire. Ils les expulsent ou incarcèrent. Il continue la chasse à l’homme contre des dizaines de milliers de persécutés, il répriment et interdit des droits civiques aux prisonniers politiques libérés.

Leur sale campagne est inspirée de la politique antiterroriste de Bush qu’ils suivent à la lettre, en fonction de leurs intérêts et de leurs intérêts électoraux. Dans leurs contradictions internes de ces classe exploiteuses, il prétend mettre le Président Gonzalo et la camarade Miriam dans les conditions les plus basses pour qu’ils ne puissent pas affronter les différents procès avec les tribunaux antiterroristes. Pour ceci ils cherchent de leur réprimer politiquement, juridiquement et moralement. Et ceci dans le but d’obtenir une opinion publique favorable qui approuve leur décision judiciaire préparé d’avance. Ils mettent en place des mesures restrictives, qui implique la régression complète du régime carcérale. Dans un cadre de haine et vengeance, ils utilisent la prison militaire de la Base Naval au Callao, ou la nouvelle prison spéciale de Piedras Gordas qui vont inauguré Dans lesquelles ils appliquent des régimes d’isolement absolu et d’anéantissement des prisonniers.

Leur sale campagne reprend des anciennes et cyniques infamies, largement démenties par les mêmes fonctionnaires carcérales. Par exemple, concernant l’infamie des : ‘privilèges carcérales’, ‘prison dorée pour le Président Gonzalo et camarade Miriam’. Sont reprises avec la logique réactionnaire de ‘mentir, mentir, quelque chose y restera’. Quand c’est amplement connu que la Prison militaire de la Base Naval au Callao a un sinistre régime que nous avons toujours dénoncés y demandant sa fermeture. Régime illégal e inconstitutionnelle parce que d’un coté il incarcère des civils dans une prison militaire à l’encontre de normes y traités internationales (comme ceux de la Commission Interaméricaine de droits de l’homme o de l’office du défenseur du peuple) et de l’autre coté par ce qu’il maintien un régime de restrictions, d’isolement et d’anéantissement systématique et sophistiqué. Régime qui nie les droits des prisonniers, comme celui de la socialisation en fixant par exemple la visite qu’à des proches directs interdisant celle d’autres proches ou amis.

Le Président Gonzalo n’a pas eu de visite depuis 12 ans. Envers la camarade Míriam ils empêchent même la visite de ces enfants. Ce régime interdit tout lien professionnel, de travailler, d’étudier l’idéologie ou les sciences sociales. Ils se couvrent en étiquetant toute recherche social comme ‘documentation terroriste’. Ils interdisent le droit d’expression, d’opinion, de diffusion d’idées, du travail scientifique, etc.

De façon cynique, malintentionnée et morbide, il présente l’incarcération de la camarade Míriam avec le Président Gonzalo comme le produit d’une concession politique o d’un privilège ‘inadmissible’ du passé. Quand ce le même état péruvien qui les a mit sous le contrôle des Armées pour de motif de ‘sécurité nationale’. Pour y être, la camarade Míriam, la deuxième dirigeante du Parti Communiste du Pérou. Ils ont fait ainsi parce qu’au départ ils avaient planifiés de les assassinés, ensuite ils essayent de les isolés a vie.

Ils essayent d’effacer notre combat des ces dix dernières années contre ce régime. Combat pour que leurs droits soient respectés, pour la fermeture de la prison militaire de la base navale au Callao et pour qui soient transférés à une prison civile. Il nie honteusement le droit des prisonniers de guerre à pouvoir se rencontrer comme le établie la Convention de Genève pour les prisonniers civils.

Comme dans le temps de l’inquisition, ils diabolisent les droits aux accès aux journaux, aux livres, à la radio. Ila appellent soit disant au même temps au débat idéologique et politique. Ils ont interdit pendant 12 années le droit au Président Gonzalo et a la camarade Míriam à répondre aux infamies qui leurs sont régulièrement adresses. Ils empêchant qu’ils expriment leurs motivations et fondements de notre action politique.

Leurs craintes sont celles des ceux qui promotionne cette sale campagne, qui craignent que les masses populaires écoute le Président Gonzalo, grand dirigeant du Parti Communiste du Pérou et de la révolution péruvienne. Ils craignent que la vérité historique de la guerre populaire s’ouvre enfin. Ils cherchent à que leur crimes de leurs politique génocidaire, que l’état péruvien à appliqué dans sa guerre antisubversive reste impunie.

Mais, quel est l’objectif central de tout ce sinistre sale campagne ? C’est celle d’engendrer une opinion publique qui justifie l’illégal e inconstitutionnel procès qui a commencé le 5 novembre dans la base navale au Callao. Avec un objectif déterminé que le tribunal antiterroriste d’exception, sanctionne à perpétuité s’en servant de n’importe quel moyen pour aboutir. Et par tous les moyens que sa politique génocidaire, de l’état péruvien reste impunie.

Ils essayent en conséquence, par exemple, d’éviter, les interpellations d’habeas corpus, juste et de droit, concernant l’excès des limites d’une détention légale, qui devra donnée suite à leurs libérations. Ils donne des prétextes pour passer le cap face aux exigences que la Cour Interaméricaine de droits de l’homme à fait à l’état péruvien pour que modifie sa législation antisubversive. Cette législation ne respecte pas les normes et traités internationales. Elles sont anticonstitutionnelles et illégales, parce qu’elles piétinent les droits constitutionnels, comme celui de la liberté et sécurités de personnes, le droit à un procès équitable et juste. Elles ne respectent pas, les droit à la défense sans restriction, à y être jugé dans un temps raisonnable, à la présomption d’innocence, elles servent aux incarcérations arbitraires et à la rétroactivité maligne de la loi pénale.

En serrant nos rangs nous exprimons notre détermination résolue à défendre de notre grand dirigeant le Président Gonzalo, à défendre l’idéologie du prolétariat : le marxisme-léninisme-maoïsme et la pensée gonzalo. Nous exprimons notre détermination à continuer notre combat pour une solution politique aux problèmes dérivés de la guerre. A combattre pour une authentique vérité historique de la guerre populaire et contre l’impunité du génocide, arborant nos droits d’agir politiquement avec le peuple.

Nous exprimons notre condamnation et rejet de la sale campagne du régime contre le Président Gonzalo et la camarade Míriam, contre le Parti Communiste du Pérou et contre les prisonniers politiques et de guerre. Nous condamnons et combattons contre l’illégale et inconstitutionnelle procès en cours contre eux. Nous exprimons notre détermination à continuer avec toutes nos énergies à combattre pour la suppression totale et complète de la législation antisubversive et à balayer les sales campagnes qui développe l’impérialisme et la réaction.

VIVE LE PRESIDENT GONZALO DIRECTION ESTRATEGUIQUE ET DECISIVE DU PARTI ET LA REVOLUTION !
VIVE LE PARTI COMMUNISTE DU PEROU !
LUTTONS POUR LA SOLUTION POLITIQUE AU PROBLEMES DERIVES DE LA GUERRE !
COMBATTONS ET DEMASQUONS LA SALE CAMPAGNE ET L’ILLEGALE
ET INCONSTITUTIONNELLE PROCES CONTRE LE PRESIDENT GONZALO ET LA CAMARADE MIRIAM !

Pérou, novembre 2004 PARTI COMMUNISTE DU PEROU