Comment la transphobie nourrit l’écologie radicale
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Catégorie : Global
Thèmes : Ecologie
« De très bonnes critiques du mouvement transgenre et queer et des idéologies dont ils émergent existent déjà. Dont celle publiée sur le site idiocratie2012, intitulée « Mauvais genre », et celle publiée par le collectif grenoblois Pièces et Main d’œuvre, intitulée « Ceci n’est pas une femme », à laquelle je n’adhère pas entièrement, mais qui reste relativement juste – je vous conseille de les lire, ou au moins une des deux, avant de regarder le documentaire ci-après. » http://partage-le.com/2017/12/8516/ …
« En attendant, ainsi que l’expose le documentaire suivant, intitulé « Transgender Kids: Who knows best? » (Les enfants transgenres : qui a raison??), produit par la BBC, qui a récemment été déprogrammé par la chaîne CBC qui devait le diffuser au Canada (mais qui a cédé face au lobby trans), qui fait l’objet de vitupérations hargneuses de la part du courant trans et queer, et que nous avons sous-titré, cette « illusion […] qui consiste à penser que nous pouvons être tout ce qui nous plaît, aller n’importe où, ou façonner la planète à notre guise », continue malheureusement à gagner du terrain. » (Nicolas Casaux pour Le Partage – Editions Libre)
Et réciproquement, l’écologie nourrit de bien misérables trucs ; de manière générale, l’animodernisme est devenu le refuge convergent et commun de bien des idéologies qui ont finalement peur de l’ombre du changement qu’elles auraient peut-être entraîné (encore que l’écologie et le naturalisme, bon…)
Cela dit ce qui me frappe le plus, c’est que finalement ce qui les enrage le plus en vers nous,; ce n’est pas vraiment non plus que nous voudrions changer grand’ chose au monde social, ce qui n’est pas ou plus le cas, puisque notre genrelande a surtout pour but et idéal désormais de faire comme eux (les cishétér@) : familier, affectiver, nous inclure et valoriser ; j’ignore ce qu’iels penseraient, diraient si nous voulions radicalement casser, abandonner les structures sociales et relationnelles en vigueur. sans doute ne nous en apprécieraient-iels pas mieux.
Mais bref, quelque part, et quelle que soit l’indigence et la mauvaise foi qui imprègnent la régression antimoderniste à notre égard, ça nous renvoie l’interrogation : on veut quoi, nous au fait, on s’identifie à quoi de nouveau ?
C’est le peuple inuit ?
La contribution est pas très claire et a l’air d’assumer que les lecteurices connaissent Gelderloos, le site partage-le, et c’est pas mon cas. A moins d’un peu de contexte, j’ai du mal à piger et pas le temps maintenant de cherche pour comprendre. Nicolas Casaux et le traducteur de Gelderloos ?
le partage casaux pote de g deloisin « conquérire note autonobile avec les racialos antisémités de tolbiak »
L’article est refusé parce qu’il ne développe pas suffisemment les critiques : il est important que les personnes qui lisent puissent avoir plus d’informations pour se faire une opinion.