Septembre
Suite à l’application de la réforme LMD, beaucoup de problèmes se posent pour les passages en classes superieures. Les matières ne sont plus réparties de la même façon dans les unités et de nombreuSE étudiantEs qui pensaient être passéE en classe superieure ou au moins avoir validé des blocks de matières se retrouve désavantagéEs par la réforme.

Début octobre
Le mécontentement monte parmis les étudiantEs concernéE, et M. Romi, doyen de la faculté qui passe pour être lui-même peu favorable au LMD, prend le parti de reconvoquer un jury d’examens en lui donnant des consignes pour interpréter les textes de lois de façon très favorables aux étudiantEs. (Les textes prévoyaient de faire passer tous les étudiantEs qui avaient validé 70 % de leurs matières et le jury a fait passer touTEs celleUX qui avaient validé 70 % de leur année c’est à dire qui avaient 7/20 de moyenne).
Environs 150 étudiantEs ce sont donc retrouvéE « catapultéE » en année superieur. Parmi ces étudiantEs certainEs s’apprétaient à abandonner leurs études et se sont inscritEs en abandonnants leurs projets de l’année et en payant les frais d’inscriptions. (environ 300 €)

Lundi 25 octobre
La présidence de l’université réagit et annonce que ces étudiantEs doivent finalement redoubler.

Mardi 26
Des étudiantEs se regroupent scandaliséE dans le hall soutenue par quelques profs et décident de convoquer une AG le lendemain.

Mercredi 27
En AG, (repris par l’UNEF à son compte) il est décidé d’aller faire pression à la présidence de l’université pour obtenir un recours gratieux et de saisir le tribunal administratif en référé.