Le gouvernement voulait tout faire pour empêcher cette jonction visible entre le mouvement social en cours et la résistance aux attaques sur la zad. Il a donc décidé de bloquer la manifestation au début du parcours prévu juste après le château : mobilisation policière hallucinante, barrières anti-émeutes, nuage épais et constant de gaz lacrymogènes et mise en action des canons à eau. Cette dispersion brutale est à l’image de ce qui s’est passé cette semaine sur la zad.

Dans les rues de Nantes comme dans le bocage le gouvernement tente de ne laisser aucune autre issue à chacun.e d’entre nous que de repartir seul.e, isolé.e.
Ils croient qu’il leur suffira de gazer, détruire et blesser jusqu’à ce que le gens comprennent et se soumettent à leurs chantages. Mais le collectif résiste et renaît toujours ! La révolte contre Macron et son monde s’amplifie partout.