Depuis que furent révélées les pratiques d’esclavage pratiquées sur ces chantiers, Vinci a continué d’engranger les profits sans que l’Internationale des travailleurs du Bâtiment et du Bois (IBB) lui fasse grand mal. Pas de campagne internationale de boycott, pas de manifestations, pas d’attaque au portefeuille (que seule ces dirigeants et actionnaires peuvent entendre) par la mobilisation des salariés Vinci à travers le monde.

Rien, Nada, peau de balle !

Du Qatar à Notre-Dame-des-Landes, Vinci tisse sa toile, au mépris des travailleur.ses, des habitant.es et de leur environnement naturel, pour le seul profit de dividendes sonnants et trébuchants. Et quand on trouve que la boîte va trop loin, on lui demande de signer un bout de papelard, où elle « PROMET » de s’auto-contrôler !

Avec une Internationale des travailleurs et travailleuses (IBB) de cette nature, les costards cravates peuvent continuer à se taper dans le dos en se gobergeant de la naïveté de celles et ceux qui veulent encore croire aux promesses de redistribution du Grand Capital.