Du  » syndicalisme  » de cogestion et soit disant  » accompagnement  » de la  » modernité  » ultra libérale a la collaboration pure et simple avec le Medef et ses sbires

Ectrait d’un  » article  » du Quotidien vespéral des marchés [ ex monde ] qui en dit long une fois de plus sur l’action  » syndicale  » des nuisibles Jaunes de la cfdt comment les appeler autrement même si le terme parait  » violent  » et cru

 » Après Bosch, le volailler Doux, installé en Bretagne, et le fabricant d’électroménager SEB, dans deux usines des Vosges, remettent en cause les accords négociés dans le cadre de l’application de la loi Aubry sur les 35 heures. Encouragées par l’accord d’augmentation du temps de travail sans compensation signé chez l’équipementier allemand Bosch en France (Le Quotidien vespéral des marchés ex Monde du 21 juillet), plusieurs entreprises sont tentées de remettre en cause les accords signés lors de l’instauration des 35 heures. Le groupe Doux, premier producteur de volailles en Europe, devait annoncer, jeudi 22 juillet, les détails d’un plan de restructuration. Avant l’annonce de ce plan, le groupe était déjà revenu sur les accords signés à l’occasion de l’application de la loi sur la réduction du temps de travail.

Jusqu’à lundi 19 juillet, les ouvriers disposaient de 23 jours de réduction du temps de travail (RTT) par an, en contrepartie du maintien de leur temps de travail à 39 heures. « C’était l’un des meilleurs accords de France », explique le délégué CFDT, qui l’avait signé en décembre 1999. Depuis lundi, faute de signataires pour un nouvel accord négocié, la direction a décidé unilatéralement d’appliquer la loi stricte : application des 35 heures sans jour de RTT ni paiement des heures de pause. Une provocation, selon la CGT : « On demande une heure de plus de travail à Bosch, mais nous, c’est deux heures et demi non payées par semaine – l’équivalent des pauses -. » Pour la CFDT, au contraire, « ça n’a rien à voir, car Bosch gagne de l’argent alors que Doux subit de plein fouet la crise avicole. »

Chez Seb, leader mondial du petit électroménager, c’est aussi la conjoncture qui est mise en avant pour justifier la dénonciation, en début d’année, de l’accord sur la réduction du temps de travail signé en 1998. Dans son édition du 22 juillet, le quotidien Libération affirme que « Seb souhaite porter le temps de travail à 38 heures, tout en maintenant la flexibilité.

Le regroupement de deux usines, dans les Vosges devrait entraîner la suppression d’une trentaine de postes dans les deux ans à venir. Une réduction d’effectifs dans laquelle les syndicats voient une contradiction flagrante avec l’allongement de la durée du travail.

La direction du groupe, jointe par Le Monde jeudi matin, se défend de remettre en cause la RTT : « On souhaite simplement faire passer le temps de travail de 32 heures à 35 heures dans nos deux usines des Vosges, afin d’obtenir une meilleure couverture de notre outil de travail », explique un porte-parole. Des négociations débuteront en septembre et Seb espère pour trouver un terrain d’entente d’ici la fin de l’année. Chez Doux, la décision brutale de la direction ne déroge pas à la loi sur les 35 heures, mais en pointe les limites. Pendant trois ans, l’accord de 1999 avait bien fonctionné, grâce aux allégements de charge prévus par la loi Aubry. Mais, dès décembre 2002, les aides ayant disparu, la direction dénonçait l’accord. « Sans les exonérations, le système ne tient plus, affirme Briec Bounour, directeur général. Je ne sais pas ce que Madame Aubry s’imaginait…

Après une période de « préavis » de quinze mois, pendant lequel l’accord demeurait en vigueur, ce n’est qu’au printemps 2004 qu’une nouvelle négociation avait conduit à un protocole d’accord avec la CFDT : le passage aux 35 heures contre 8 à 13 jours de RTT et le paiement de la moitié des heures de pauses, soit 1 h 15 par semaine.

La CGT critique cette mouture, considérant celle de 1999 comme un acquis. « La CGT a fait croire aux salariés qu’ils pourraient garder leurs 23 jours », déplore le représentant de la CFDT,. Paradoxalement, la CGT défend aujourd’hui un accord qu’elle a refusé de signer il y a cinq ans.

« UN MOIS DE SALAIRE »

La tension entre les syndicats a atteint son paroxysme en juin, lors des élections au comité d’entreprise de l’usine. Avec trois sièges sur cinq, la CGT devient majoritaire. La CFDT, qui avait conditionné la signature de l’accord de 2004 au vote de confiance des salariés, décide de ne pas parapher le texte. Christiane Legouesbe, la déléguée syndicale centrale CFDT pour l’ensemble du groupe Doux, explique ce revirement : « Nous voulons responsabiliser les autres syndicats. Ça fait des années que la CGT n’a pas signé un accord. C’est toujours nous qui arrachons des acquis pour les salariés et qui prenons des coups. »

Quand le harcèlement moral et le chantage a l’emploi devient un style de  » management  » et une  » modernité  » la cfdt comme a son habitude signe sans broncher ni moufter , pire en toute malhonnêteté le syndicat Jaune se met aussitôt geindre et a vouloir rejeter ses saloperies sur d’autres centrales syndicales , qu’elle se met a traiter d’intransigeantes et de jusqu’auboutisme un langage immonde qu’on nous bassine depuis des années , et qui est digne des pires crapules qui grouillent au sein des médias dominants et des maffieux u.m.p

Manipulation , trucages divers , pseudos accords signés même quand le syndicat Jaune est minoritaire dans la branche ou il les  » signe  » , comme ce fut le cas plus que flagrant et totalement scandaleux , pour les intermittent(es) [ rappelons que le  » protocole  » inique de l’intermittence du 26 juin fut signé par le secteur  » culture  » de la cfdt alors que celui-ci n’y compte a peu prés que environ 17 adhérent(es) tous(tes) essentiellement des salarié(es) du ministère de la culture ceci expliquant a coup sur cela ] , quand ce n’est pas du harcèlement moral et la dénonciation d’autres salarié(es) syndiqué(es) comme cela c’est passé par exemple dans le conflit de Maxi livre ou de  » vaillants  » et de  » vaillantes  » soit disant délégué(es) du personnel cfdt [ pourtant la encore minoritaires au sein de l’entreprise Maxi livres ] faisaient signer des pétitions anti grève aux client(es) de cette chaîne de librairie , pour appuyer la direction afin dixit (sic) de  » sauver  » l’entreprise des méchant(es) grévistes de la cgt

Est la des pratiques se revendiquant du syndicalisme, de la solidarité interprofessionnelle évidement non pour nous tous(tes) ce n’est que de la collaboration pure et simple avec les intérêts du Medef et du patronat , nous ne le répéterons jamais assez , le cinéma les gesticulations , les roucoulades du paon chéreque ne sont plus supportables et n’ont que trop durées

Ce ne sont que quelques exemples mais qui hélas en disent long sur les  » conceptions  » du « syndicalisme  » de la centrale Jaune vomi de m chéreque , la liste des exactions anti sociales de ce  » syndicat  » s’élargissant de jours en jours .

Face a ce  » syndicalisme  » patronal couché et collabo , ces méthodes et ces manœuvres de nervis , qui ne sont pas sans nous rappeler les méthodes de la C.s.l le  » syndicat  » Jaune de sinistre mémoire , qui sévissait jadis chez Renault et Peugeot aux cotés du C.n.p.f de jean Gandois [ ce qui allait devenir le futur Medef ]

Nous invitons tout et toutes les salarié(es) qui ont étés un jour ou l’autre victime des manœuvres immondes de la clique de m chéreque a les dénoncer et a témoigner des plus vigoureusement sur le réseau des médias libres et indépendants , l’exemple de Bosch , Doux et Seb , de Maxi livre n’étant pas hélas la non plus des cas isolés ou ponctuels , mais pour nous bien la une politique concertée de la  » centrale  » du boulevard belleville , qui ne vise qu’a une chose a diviser les salarié(es) au sein des entreprise , afin de faire mieux  » passer  » leur collaborations diverses

Bien que de plus en plus minoritaire dans pas mal de secteurs et de champs de syndicalisations le  » syndicat  » Jaune , avec l’aval et l’aide des médias continue son travail de sape de tout nos droits sociaux les plus élémentaires , en parfaits agents du Medef , avec toujours plus de mépris et de cynisme , une situation que nous nous devons tous(tes) de dénoncer , combien de temps allons nous encore supporter la présence de ces corrompus , et ces fossoyeurs sociaux professionnels a nos cotés , dans nos cortéges , manifestations , et actions , nous l’avions déjà dits si m Thibault mme Maryse Dumas de la Cgt ou m Mailly de Fo ont la mémoire courte et les calculs toujours aussi politiciens et bureaucratique après ce qui s’est passé et l’exemple du double langage de la cfdt au printemps 2003.

EN TANT QUE SALARIE(ES) MILITANT(ES) SYNDICALISTES DES BASES, PRECAIRES, CHOMEUR(SES) VICTIMES DES LICENCIEMENTS BOURSIERS ET SPECULATIFS , VICTIMES DES ACCORDS DE BARCELONE DE 1994 , DE L’OMC , DU FMI , DE L’OCDE DU FUTUR AGCS ET DE L’EUROPE ANTI SOCIALE QUI SE MET EN PLACE

NOUS DISONS A MESSIEURS THIBAULT ET MAILLY QUE NOUS N’AVONS QUE FOUTRE DE LA PRESENCE OU NON OU DE LA  » PLACE  » QU’OCCUPERONS OU NON LA CGT OU FO AU SEIN DE LA CENTRALE EUROPEENNE DES SYNDICATS , CETTE C.E.S QUI DE TOUTE FACON N’EST QU’UNE CFDT COLLABO DE PLUS AU NIVEAU EUROPEEN

COMMENT FAIRE CONFIANCE A CETTE CENTRALE EUROPEENE DES SYNDICATS QUAND ON SAIT QU’ELLE EST DIRIGEE PAR UN CERTAIN JOHN MONK UN AMI ET PROCHE DE TONY BLAIR QUI N’A JAMAIS REMIS EN CAUSE LES SALOPERIES ANTI SOCIALES ET ANTI SYNDICALES DE L’ERE THATCHER

VOS CALCULS A COURT TERME VOS COPINAGES AVEC LES JAUNES DE LA CFDT IL Y EN AS PLUS QUE MARRE ASSEZ DE BUREAUCRATIES ASSEZ DE REFORMISME MOU ET COLLABO

Nous par contre sommes des milliers a ne pas avoir oubliés les saloperies de la Cfdt , et sommes des milliers qui ne les Pardonnerons jamais , que messieurs chéreque et jalmain se le disent , qu’ils ne s’étonnent pas que nous les considérions tels qu’ils sont , c’est-à-dire comme des valets du baron Seillière et du gouvernement chirac raffararin sarkosi , qu’ils se le disent aussi les victimes de leur collaboration de classe , et ce malgré ce qu’en disent leurs ami(es) médiarques ne seront pas toujours aussi  » gentilles  » et consentantes

Le mépris , a la suffisance , et a l’arrogance du  » syndicat  » Jaune vomi valent bien celles du gouvernement chirac celles des ordures du Medef , devant ces corrompus et ses sociaux pourris nous serons désormais impitoyables

Qui sème la misère Récolte la colère

Mieux vaut encore être libre mais sous terre Que sous le joug du Medef

Mieux vaut encore être libre mais sous terre Que sous le joug des Jaunes de la cfdt

texte écrits par des militant(es) syndicalistes de la base

Enragés Enragé(es) paris