AURELIA COSTES, directrice du QMC, JEAN-LUC LAFORCE, major (les deux sont en couple) et AUDREY RALLEJEAU (lieutenant, la plus sale de ces bourreaux) ont rencontré peu avant MARIE-LINE HANICOT, directrice de la direction interrégionale de l’AP de Lyon, tristement célèbre pour detenir le record de transfert disciplinaires.

 

Cette rencontre, qui dévait être sécrete, mais dont certains détenus ont eu connaissance, avait comme but de faire pression sur le minitère pour que la Centrale soit complètement fermée avec un régime de type MA et pour y déployer tout un arsenal sécuritaire et de surveillance (encore plus de caméras… etc).

Voilà donc les noms des résponsables de la situation de merde que subissent les détenus de Valence. On se souviendra que trois d’entre eux ont été condamnés à trois ans de prison, d’autres ont été transféré ailleurs, loin de leur proches. Et le 27 novemnre, une nouvelle mutinerie a éclaté : des prisonniers se sont emparés des clés, ont liberé d’autres, puis un feu a été allumé.

« {Et il faudra être capable de soutenir un tel mouvement [de mutinerie] à l’exterieur avec un peu plus que des banderoles « vive la révolte »} (cit. de « La rage et la révolte » p. 143)