critique politique altermondialiste et auteur indépendant parisien je vous propose un article en deux parties intitulé « Choosing targets in cities, planification de la terreur et populations civiles non-combattantes »

partie 1 : http://linked222.free.fr/cp/hors_les_lignes/h1.html
partie 2 : http://linked222.free.fr/cp/hors_les_lignes/h2.html

Il s’agit d’une critique politique des attentats de Madrid du 11 mars dernier. Je me suis attaché à dénoncer les traductions pro-gouvernementales de documemts dits « islamistes al qaediens et ben ladeniens » essentiellement produits par des sites soutenus par le contre-terrorisme américain ou européen, Site Institute de Washington, FFI d’Oslo, etc… et diffusées sur CNN, CBS ou Fox.
L’analyse proposée du concept « entité terroriste internationale » est résolument marxienne et tire sa source théorique des oppositions civiles à l’Etat politique. Elle cherche à démontrer comment les Etats Unis,les Etats fédérés au libéralisme et certains groupes de pressions ultraliberaux encouragent la stratégie politique de la terreur afin de parvenir à « l’étouffement des oppositions civiles non combattantes ou citoyennes à l’Etat libéral(le fait du prince associé aujourd’hui à la mondialisation et à la maîtrise des zones de libre échange… au Moyen Orient) et dont « l’islamisme politique, l’arabité ou le socialisme arabe » ne seraient (comme le communisme au temps de la guerre froide) qu’un déclancheur médiatique efficace.
Les attentats de Madrid seraient en fait, ainsi présentés, l’expression d’une dramaturgie politique visant à « secouer ou à ébranler » les oppositions aux candidatures à l’OTAN au sein des pays de l’ex-bloc soviétique, un couloir militaire (en fait un immense marché protégé de la Baltique à la mer Egée) convoité par les Etats Unis depuis 1944 et par le patronat ashkenaze pro américain (vivant aujourd’hui en Europe, en Israel ou aux USA).
Isoler le marché russe du marché européen…par un authentique processus de destabilisation. Sans doute un vieux projet des multinationales (ITT, AT&T, IBM, FORD, General Motors…), des banquiers new-yorkais (Warburg, Dillon, Rockefeller, Morgan…) et de la maison blanche depuis les plans Dawes (1924) et Young (1928).