Ce matin nous avons mis le feu auprès de la ligne de chemin de fer centrale menant de Berlin vers l’ouest. Toute mise en danger de vies humaines a été exclu. Par cet attentat le transport de voyageurs aussi bien que le transport de marchandises a été atteint. Nous sommes pleine de compréhension envers l’irritation de voyageurs individuels et en assumons la responsabilité. Nous espérons que la plupart de ceux qui font la navette n’a pas réussi à atteindre leur lieu de travail, ni à la banque à Francfort ni au réunion de crise chez Volkswagen. En outre nous regardons avec satisfaction toute entrave à la production „just in time » ou tout retard des livraisons de pétrole stratégiquement importantes.

Des milliers de personnes sont interdit d’entrer ou de voyager à travers l’Europe – nous visons avec notre action la fonctionnalité économique de la forteresse Europe. Nous pertubons le transport de main-d ‘oeuvre, de marchandises, l’Europe comme site économique. Nous invitons tous les refugiés du monde.
Le désordre des uns est le champ libre des autres: dans les mois passés, beaucoup de choses ont glissé des mains de l’état, l’enregistrement des refugiés, le contrôle de leurs chemins et leurs buts, l’engagemernt auto-organisé d’une partie de ses propres citoyen(ne)s. Il en réagit avec une répression et une militarisation accrues. La fermeture des frontières est rétablie tant bien que mal. Les empreintes ditiales dans les nouvelles cartes d’identité permettent d’expulser les refugiés d’une façon plus rapide ou de les forcer à s’intéger le plus vite possible dans la vie économqiue. Pendant que Merkel joue au „good cop » ses partenaires menacent de réintroduire l’obligation de résidence ou de plafonner l’accueil des réfugiés. Une politique executé ensuite par les nazis avec des tentatives de meurtre de ceux qui ont réussi à franchir les frontières extérieur de l’UE. Cette situation nous suffit de toute façon pour saboter la forteresse Europe de l’intérieur.
La mobilisation contre les refugiès nécessite une réponse forte. Il s’agit de faire grimper le prix de cette politique méprisante pour le genre humain á de tels hauteurs qu’on sera contraint de changer de cap. Comment ouvrir sinon la possibilité sociale que tous ceux qui se sont réfugiés dans ce pays puissent rester.
Notre place est du côté de ceux qui veulent venir dans ce pays et qui revendiquent leur droit de vivre: Refugees werlcome!
Tant qu’il n’existe pas de liberté de voyager pour les refugiés en Europe et tant que les frontières ne sont ouverts que pour ceux qui ont le bon passeport, la bonne langue et la bonne couleur de peau, le calme et l’ordre ne doivent règner à l’intérieur de la forteresse Europe.

„Vulkangruppe »: sabotez la forteresse Europe – nous y arriverons