Préalablement les systèmes d’alerte incendie avaient judicieusement été mis hors service. Ce qui permis aux flammes de se répandrent jusqu’à rendre tout le bâtiment hors d’état d’enfermer. Dans la foulée la petite dizaine de jeunes ont été transférés dans d’autres lieux. Une enquête est ouverte, mais en attendant le centre ne ré-ouvrira pas ces portes de sitôt. Ce centre avait ouvert ces portes en 2006, afin de mieux les fermer sur une douzaine de jeunes placé là par la justice pour purger leurs peines; faisaient déjà face à la fronde des enfermées. En février à trois reprises, des évasions avaient déjà eut lieux, dont l’une avec le vol d’un véhicule, et une autre avec six évadés.
La nouvelle municipalité, qui ne voyait déjà pas d’un très bon œil cette institutions (surtout ces occupants) s’est empressé de faire un arrêté de fermeture jusqu’au 31 décembre 2015. La préfecture devrait suivre cette décision.
L’Association des cités du Secours catholique (ACSC), gestionnaire du lieu, faisait déjà face à des soucis de fonctionnement interne, avec la démission d’une dizaine d’éducateurs, et de gros soucis avec la directrice, qui fut licencier en début d’année… C’est pas facile la gestion du personnel dans les taules ! Certainement que la gestion d’un tas de cendres sera plus simple. Cependant l’association du réseau du secours catholique souhaiterait passer la main à un nouvel opérateur.
Murmure salut le(s) incendiaire(e) ! et que les flammes se répandent aux autres lieux d’enfermement !