L’industrie de la violence conjugale se porte vigoureusement bien en occident, et tout particulièrement au Québec. Le féminisme d’état, ou
plutôt la misandrie étatique pronée par les représentantes des groupes de pression prêchant l’orthodoxie, instigatrices d’un mouvement s’inspirant librement de la première période du national-socialiste allemand, a réduit les hommes, principalement des pères de familles, au rang de
parias de la société, d’êtres jetable après usage, de donneurs de sperme, de guichets automatiques dont il est possible de s’approprier les biens, de les priver de l’accès à leurs enfants, de les plonger dans un enfer juridique kafkaïen, bref tout simplement de les anéantir au moyen d’un simple coup de téléphone.

Pour ce faire, il suffit de se conformer à la ligne de pensée unique dictée par le mouvement féminazie et déposer une plainte de violence
conjugale à son endroit, comme les encouragent à le faire les politiques sexistes d’intervention en la matière adoptées au Québec et dans une foule d’autres États. Dans notre belle province en effet, seule la parole d’une femme en mal de contrôle est requise, sans qu’il lui soit nécessaire de disposer du moindre témoin ou éléments probants pour corroborer ses affirmations. Sa seule parole mensongère
représente tout ce qui est nécessaire pour détruire
irrémédiablement la vie de n’importe quel homme, pour s’accaparer son salaire sous la forme de pension
alimentaire abusive, une véritable rançon prélevée à la source au profit d’une femme menteuse par les petits fonctionnaires dont le rôle s’apparente à celui joué par les gardiens des camps de concentration nazi, le priver de l’accès à ses enfants et de son domicile, le déposséder des ses
économies en lui imposant des honoraires juridiques faramineux sans qu’il lui soit possible d’apercevoir l’ombre du spectre de la justice et finalement l’acculer au suicide, sinon sombrer dans la déchéance la plus abjecte. Les statistiques alarmantes au niveau
du suicide des hommes, et de manière corrolaire celle concernant la dénatalité, le décrochage scolaire des garçons et l’épidémie des ruptures conjugales dans notre pays en témoignent de manière éloquente.

Pendant ce temps, les médias font la sourde oreille, pratique unanimement la langue de bois et observent un silence inquétant et complice sur le sort réservé aux hommes qui continuent par milliers de passer à travers cette effroyable machine expressément conçue pour les broyer.

Parallèlement, les féministes intégristes engrangent de généreuses subventions qu’elles utilisent pour répandre leur propagande haineuse dans notre société, affirmant sous tous les toits que les hommes sont de violentes brutes et les femmes d’éternelles victimes qu’il faut protéger à tout prix, peut importe les conséquences sociales d’un tel délire institutionnel.

Cette idéologie réductrice, que d’aucuns n’hésitent plus à qualifier de féminazie, sème le marasme dans tout l’occident depuis plus de 30 ans. Pareille généralisation outrancière équivaudrait par exemple à affirmer que l’ensemble des femmes sont des putes parce que certaines d’entre elles ont fait le libre choix de vivre des fruits de la prostitution.

Au Québec, l’idéologie fémisexiste pronée par les féministes intégristes a atteint sa forme achevée. La prochaine étape sera peut-être la construction de chambre à gaz
si le bon peuple, témoin de ces pratiques inquisitoriales, ne réagit pas dès maintenant en dénonçant haut et fort la montée de cette forme
renouvelée de totalitarisme.

Hermil LeBel
limreh3@yahoo.ca