Le soutien à Jacques Risso est d’une importance primoriale en ces temps de fascisme rampant.

Jacques Risso, directeur d’école de Rustrel dans le Vaucluse, a été suspendu de ses fonctions pour avoir un blog avec des dessins humoristiques sur le thème de l’Education Nationale.
L’Education nationale a crée de toute pièce une pseudo faute professionnelle _ une chamaillerie entre enfants qu’ils ont transformé en « harcellement entre enfants.

Le comité qui le soutient résume la situation :

« Depuis le 30 Août, Jacques Risso est interdit d’école, suspendu de toutes ses fonctions d’instit et de directeur de l’école de Rustrel (84)…

Rien dans son dossier ne justifie une telle mesure, rien, dans les 24 années passées à diriger cette école, ne permet de comprendre un tel acharnement, rien, si ce n’est que certains, visiblement, ont du mal à supporter l’humour et la liberté d’esprit de Jacques…

Parents d’élèves de Rustrel, amis et collègues de Jacques, se mobilisent pour sa défense, car ce qui lui arrive aujourd’hui peut arriver à chacun de nous demain ! » http://www.la-bouteille-a-l-encre.com/

J’ai eu à subir des méthodes similaires en tant qu’assistante pédagogiquee 2008.
Ils sont prêts à tous les mensonges pour couvrir l’institution et punir les rebelles – qui ne sont autres que les gens honnêtes.

A la rentrée, j’ai la surprise d’apprendre que mon inspecteur n’est autre que celui qui avait étouffé une affaire de violence à enfants dont j’avais été témoin dans une école maternelle du Havre et qui avait utiisé tout le pouvoir qu’il avait pour me harceler (fabrication de fausses fautes professionnelles, intrdiction aux enseignants de m’ouvrir leur porte, reception de mise en demeure, et ça a fini par un non renouvellement de contrat et les assédics avec un peu plus de 400 euros par mois pour vivre). Une vidéo a été mise sur internet dénonçant toute cette affaire.

A l’improviste, il débarque dans ma classe en compagnie de la directrice qu’il avait préalablement essayé de monter contre moi.
Il me dit devant tous mes élèves : « Vous vous êtes convertit dans l’enseignement, mademoiselle » et ajoute « vous préférez être dans la chanson ou dans l’enseignement ». Il réitère « alors c’est quoi qui est le mieux la chanson ou l’enseignement ». Il finit par « de toutes les façons on va avoir l’occasion de se rencontrer cette année ».

J’apprends un peu plus tard qu’il a évoqué ses griefs contre moi lors de la réunion d’inspection, que plusieurs personnes à l’inspection académique font déjà campagne contre moi.

Je crains qu’il ne m’arrive la même chose qu’à Jacques Risso. C’est si facile de construire une faute professionnelle et de harceler moralement les personne génantes !

Mais ne vous inquiétez pas les enseignants qui tapent les enfants eux n’auront aucun problème. La directrice d’école qui se vantait de taper un enfant de 4 ans était révéré par l’IEN ! L’Atsem qui tapait un enfant de 3 ans n’a même pas reçu une petite remontrance !!

Et le Professeur en UPI (Unité Pédagogique d’Intégration) qui donnait des coups de pieds entre les fesses de ses élèves adolescentes a gardé son poste et a continué ses agissements tranquillement. J’avais été témoin de tels agissements alors que j’étais assistante d’éducation. J’en avais informé plusieurs syndicats qui m’avaient promis d’en référer à la hiérarchie de l’Education nationale.

Sans compter les 3 témoignages d’AVS et assistante d’éducation qui m’ont fait savoir qu’elles avaient été témoins de violences à enfants de la part d’enseignantes mais qui n’ont pas osés parler de peur de subir ce que moi j’ai subi et je subis encore !

Il y a actuellement une attaque contre tous les vrais médias, contre les journalistes et les blogueurs, contre les dessinateurs trop rebelles.
Un blog où j’avais écrit des articles dans le passé a été condamné. Les juges ont inventé des aveux par les, Médiapart qui publient les enregistrements Bettencourt, … et moi qui ait écrit suis contributeur d’un blog antifrançafrique et qui est été condamné à 31000 euros en Cour d’Appel de Bordeaux pour un article que je n’ai pas écrit.

Julie Amadis