Le groupe Vinci fait parler involontairement de lui depuis l’opération
« César », qui a eu le mérite de sortir le conflit de Notre-Dame des
Landes et ses enjeux de la relative confidentialité où l’avaient
relégué les médias jusque-là. En s’y intéressant un peu, on
s’aperçoit qu’il s’agit d’un de ces grands groupes capitalistes
qui, de par leurs stratégies de développement, les marchés qu’ils
veulent occuper – quand ils ne les inventent pas purement et simplement
– se situent au cœur du développement du capital, dans les secteurs
nécessaires et les passages obligés de la fabrique du monde (…)

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