Voici quelques exemples de leurs exactions des semaines passées

– en cas d’abscence sur les barricades et chicanes, saccages et rafle systématique du matos : à la barricades des Fosses Noires près de la Sècherie, aux chicanes nord et sud de la D281 (près du Phare Ouest).Jeudi, ils ont saccagé une petite cabane qui a été montée sur le « Chemin des Dames » derrères les Noues Pourries ;

– des PSIG (Peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie) se « baladent » à pied, notamment dans les champs entre les Fosses Noires et la Rolandière, vers la Grée et à la Boissière. On les soupçonne de couper les clôtures barbelés ;

– ils font des courses poursuites dans les champs et des interpellations ciblées ;

– ils provoquent régulièrement sur les barricade : par exemple à la barricade sud de la D281, ils s’arrêtent devant la barricade et crient « venez, venez ! » ;

– après leur passage, on a retrouvé des toiles de tentes et des bâches lacérées à coup de couteau.

De plus, les fouilles archéologiques préventives ont repris sur le tracé du projet de barreau routier (l’autoroute censée permettre l’accès à l’aéroport).

On soupçonne une « garnison cow-boy » particulièrement zélée arrivée il y a environ deux semaines. Ont-ils des ordres spécifiques ? Font-ils du repérage ? En tout cas, on manque d’indiens !