A Aurore Martin, militante indépendantiste basque arretée le 1er Novembre 2012 par le ministère de l’intérieur de Manuel Valls , traquée par l’anti-terrorisme français et emprisonnée en Espagne.

Le dossier que vous allez lire n’a eu à aucun moment pour unique interêt l’identification d’un membre de l’élite de la police nationale. Nous savons parfaitement qu’il s’agit d’une « personne à l’identité protégée », une élitiste dont nous avons flouté le visage et que nous qualifions par ses initiales C.B. Ce que nous avons voulu démontrer est que dans notre societé, nul n’est à l’abri de la diffusion de ses données personelles ou publiques, même si l’on appartient au « gratin » de la police nationale. Le fichage que l’état effectue à l’encontre de quiconque, peut facilement être détourné à des fins néfastes. Des personnes en font déja les frais.(usurpation d’identité, escroquerie à la carte bancaire, RFID…). Mais le plus gros danger de ce fichage dont nous sommes tous victimes est lorsqu’il est entre les mains d’une police en état de déliquescence avancée et d’un bon nombre de policiers dont la corruption atteint des sommets. Nous avertirons toujours sur le danger des « réseaux sociaux » et la mise en ligne de données personnelles pouvant ruiner la vie d’une personne. Facebook, Copains d’avant, Viadéo, 123 people sont particulièrement ciblés. par les services du renseignement intérieur.

Toute information peut s’obtenir, se savoir et se transmettre. Nous en faisons encore la démonstration. Prenez-en acte.