Nous étions à chaque fois entre 100 et 200 personnes à venir en soutien aux camarades et a nous opposer à la répression autoritaire des forces armées.

Des barricades, du harcèlement “gentillet” ou non… :) , ainsi que notre présence active sur les lieux leur a montrés concrètement que la ZAD ne leur appartient pas; autant qu’elle n’appartient pas à Vinci, au conseil général, aux autorités…mais bien à ceux/celles qui y vivent, la cultivent, la rendent vivante et qui souhaitent la préserver du bétonnage à grande échelle qui menace tous nos territoires !

Nous continuerons le combat quoi qu’ils fassent pour nous intimider : 14 camions de gendarmes mobiles mobilisés, de multiples charges, utilisation de gaz lacrymogène, 7 gardes à vue et plusieurs blessé-e-s…

Leur occupation policière doit cesser !

Réapproprions-nous collectivement la ZAD !

Venez nombreux/ses soutenir les occupant-e-s de la ZAD et les camarades d’ici et d’ailleurs qui participent à cette occupation !
Et pourquoi pas venir vous installer à votre tour, ne serait-ce que pour quelque temps !

Des membres du collectif de lutte contre l’aéroport de NDDL

N.B : la maison occupée appartient au conseil général (PS), et non à Vinci, puisqu’elle se trouve à quelques centaines de mètres de la ZAD et qu’elle serait concernée par les nuisances du projet d’aéroport.

Le conseil général souhaite d’ailleurs porter plainte pour “les violences” (sic). Nous savons surtout que le conseil général défend les intérêts de la multinationale Vinci pour qu’elle puisse tranquillement réaliser son projet et amasser du profit !

Mais nous ne les laisserons pas faire !

Des photos de la maison occupée (prises le mardi 6/03 en début d’après-midi) :

http://wp.me/p1hwU8-y9

Vous trouverez aussi une photo d’une action de réappropriation collective de terres (abandonnées par un paysan à Vinci) par des occupant-e-s de la ZAD. Action effectuée le matin du mardi 06/03 (vous serez tenu-e-s plus précisément au courant de cette action par les occupant-e-s de la ZAD (http://zad.nadir.org/) d’ici peu de temps).