Tout ça pour des yaourts balancés sur la bagnole du gnôme de l’intérieur en 2004, devenu président en 2007. Et dès qu’il est devenu président, les lèche-culs du tribunal ont donc fait tout ce qu’il fallait pour m’envoyer en taule. Après 6 mois de taule, où l’administration pénitentiaire et les magistrats de l’application des peines ont été jusqu’à la tentative de meurtre, les harcèlements n’ont pas cessé de la part des magistrats, car de la part des flics rien, aucun signalement, alors que je n’ai cessé ni l’asso vélorution ni la militance. Preuve qu’il y a dans la magistrature des pourritures appelées magistrats et dont les noms se trouvent sur le blog.
Aujourd’hui les harcèlements continuent, sans le moindre soutien car aucun média ni aucune organisation ne tient à se mouiller. La lâcheté va bien au delà car même ceux qui dénonçent l’état font étrangement silence. Sur indymedia toulouse par exemple où les articles publiés n’apparaissent jamais…

– le 18 février 2010, le juge pauvert et ses acolytes m’ont interdit lors de l’audience d’appel d’avoir un avocat commis d’office, également d’avoir accès au dossier d’accusation. 2 personnes présentes peuvent en témoigner mais malgré les plaintes que j’ai déposé le verdict a été plus que sévère
: 3 mois fermes de prison. Les avocats présents à l’audience pour d’autres affaires, lorsque je les ai interpellé sur l’attitude illégale des juges, ont préféré quitter la salle sans un mot. Je suis à présent convoqué le 12 janvier prochain à 10h45 au tribunal pour l’application de la peine (2
allée jules guesde). S’il y avait des gens présents pour me soutenir ce serait cool. Je serai devant le tgi à 10h30.
plus de détails :
http://olivierlibre.bloguez.com/olivierlibre/954357/Un-…eurs-

– Pour avoir écrit un article sur mon blog
(http://olivierlibre.bloguez.com/olivierlibre/478533/-Ic…ce-1-)
je suis poursuivi pour une prétendue diffamation. Non pas quand j’accuse de faux en écritures publiques, de vols ou de tentative de meurtre certains magistrats et certaines personnes de l’administration pénitentiaire, non, juste pour avoir écrit que le procureur de l’application des peines avait été « à la fois juge, bourreau, procureur et
prétendue victime »… Tout le reste du texte passe à la trappe malgré les accusations graves et preuves dont je dispose pour étayer mes propos. Là aussi, si vous voulez soutenir faut venir à la cour d’appel (place du
salin), c’est le 1er février à 14h, je serai devant à 13h45.

ps : cet article a été censuré sans motif affiché par indymedia toulouse, qui fait disparaître systématiquement mes infos sans même les mettre dans les articles refusés…