En fond sonore à l’appel les cri de détenus, encore enfermés dans la chambre. La fumée remplie la chambre : les immigrés ne réussissent pas à respirer, ma ça non plus ne suffit pas. Les portes restent fermes. Aucune pitié pour ceux qui ne baissent la tête.

De bouche à oreille la nouvelle se répand parmi les antiracistes : les radio de mouvements passent en directe la voix des rebelles empièges, des journalistes et les camarades plus proches sont contactés . Un conseiller régional de Rifondazione (communiste n.d.t) appelle le préfet de police pour l’informer que désormais la nouvelle sur ce qui était en train de se passer à l’intérieur du CIE avait transpiré.

La préfecture de Gorizia – selon ce qui dit l’Ansa – diffuse une version différente des faits. L’incendie à l’intérieur aurait été mis pour essayer de couvrir un tentative de fuite d’une vingtaine de détenus, tentative éventé par les forces de l’ordre.

Des activistes se rendent devant le CIE. Malheureusement, comme toujours, de dehors on sent et on ne voit rien. La fumée non plus, parce que les incendies entre-temps ils avaient été éteints. À l’intérieur des cellules l’air est irrespirable et la situation est très tendue. Peut-être – mais la nouvelle n’a pas été confirmé – en tarde soirée un nombre non précisé de détenus a été amené à l’hôpital pour un principe d’étouffement. On attends ultérieures nouvelles

Correspondace d’une camarade triestino – article originel en italien

http://piemonte.indymedia.org/article/9938