En ces temps de « crise » (comme si d’habitude, le capitalisme était tendre et doux…), quand la gauche se la re-joue rebelle et tente de récupérer tout et n’importe quoi (souvent elle appelle à la répression contre les casseur-e-s anarchistes, et quand ça l’arrange elle appelle à soutenir les « anarcho-autonomes » de Tarnac – parce qu’innocents ? -, souvent elle fait expulser des squats, et quand ça l’arrange elle soutient des squatteur-e-s sous prétexte que les brutalités policières étaient trop dures – parce que le blessé grave est le petit-fils d’un artiste fameux ? -, etc.).

Il est important et nécessaire de ne pas se laisser berner par les beaux-parleurs de la gauche parlementaire (ni par les autres, vous savez, les « madame soleil » de la prophétie désastreuse…).

Voici donc deux-trois textes pour aider à mettre un terme au mythe du Front Populaire… qui fut un moment où l’hypocrisie de la gauche a pu s’exprimer dans toute sa splendeur.

Sommaire :
– Juin 36 : l’envers du décor, par Barthélémy Schwartz (publié dans le numéro 2 de la revue Oiseau-tempête, automne 1997)
– 1936 : Le Front Populaire contre les occupations d’usines, par Jérôme (publié dans le hors-série n°2 de la revue Courant alternatif, troisième trimestre 1999)
– Chez Salmson à Billancourt, par un gréviste libertaire (publié dans le journal Le Libertaire, 19 juin 1936)

A lire en ligne ici : http://infokiosques.net/spip.php?article95.

http://increvablesanarchistes.org/album_photo/phot1936_…r.htm