Lors de l’expulsion des sans-papiers de la Bourse du Travail par la CGT à Paris le 24 juin, puis lors de l’expulsion du Garage à Lille le 30 juin ou de la Clinique à Montreuil le 8 juillet, des camarades ont pris des coups. La police fait son travail.
Lundi 6 juillet, deux agences immobilières et une BNP ont été fracassés dans le Marais à Paris. Solidarité avec les inculpés de la guerre sociale, et au-delà des semaines de solidarité, car l’antagonisme est quotidien. Rendons coup pour coup.