Une nouvelle dérive raciste de l’église que nous nous devons de dénoncer avec la plus grande véhémence

après l’affaire de l’évêque négationniste anglais plus que couvert par le vatican , l’évêque brésilien qui a « excommunié » une enfant de 9 ans qui a avorté suite a son viol par son beau père et les déclarations immondes de cet évêque déclarant « que le viol était finalement un acte moins grave que l’avortement » avec l’avènement du cardinal Ratzinger l’église catholique nous montre une fois de plus son vrai visage, celui d’un ramassis d’individus sexistes, racistes, homophobe, patriarcaux, mais aussi sa servilité et sa soumission aux « puissants » a « l’ordre établi » et aux éléments les plus réactionnaires des oligarchies capitalistes et bourgeoises de la planète

On a appris qu’un député écologiste autrichien a déterré un vieux texte de 1998 signé du cardinal Ratzinger dans une publication nationaliste et quelle publication

Janvier 2009. Karl Öllinger, un député écologiste autrichien qui s’est spécialisé dans le combat contre l’extrême droite florissante dans son pays, tombe sur un hors-série particulièrement abject de la revue Die Aula, paru à l’occasion du 150e anniversaire de la révolution allemande de 1848.

Au milieu des affabulations de négationnistes de députés d’extrême droite et de membres du parti néonazi allemand NDP, il tombe – éberlué – sur un texte signé du cardinal Ratzinger et intitulé « Freiheit und Wahrheit » traduction « Liberté et Vérité «

En fait ce texte est une charge virulente contre nos libertés individuelle, le système démocratique, texte qui aujourd’hui encore, peut être consultée à Vienne, au Centre de documentation et d’archives sur la résistance (DÖW), un organisme chargé de surveiller les mouvements extrémistes. Racistes et négationnistes

http://www.doew.at/

Gros embarras pour les tarés tiarés porteurs de crosses mais aussi des « excuses » complètement bidons du Vatican et de l’église

Dans un premier temps, le diocèse de Vienne nous a affirmé que le cardinal Ratzinger n’a jamais donné l’autorisation (ben voyons) pour cette publication dans cette revue fasciste Die Aula : « Liberté et Vérité » et que ces « écrits » était en fait un vieux texte datant de 1995, publié pour la première fois dans une revue chrétienne conservatrice (proche de l’Opus Dei et ses nostalgiques du franquisme cela va de soit).

Pas de bol pour le cardinal Ratzinger, celui qui avait à l’époque négocié la publication avec le secrétaire du cardinal a gardé tous les échanges de leurs lettres et de leur « correspondances » : le cardinal a bel et bien, à l’époque, donné son accord par écrit pour une reproduction.

Aujourd’hui encore, les milieux de droite extrémistes anglos saxons, on considère évidement Benoît XVI comme l’un des leurs et un « sauveur » des « valeurs occidentales » cet aréopage de réactionnaires se flattent bien sur que le souverain ait publié dans leur revue. Le hors-série est d’ailleurs en vente sur Internet

Die Aula une « revue » qui défend les négationnistes de la pire espèce

Die Aula défend les négationnistes et ceux qu’elle nomme les « victimes de la liberté d’expression », à savoir les hommes politiques d’extrême droite qui sont condamnés pour offense à l’islam. Elle critique les lois qui répriment les propos révisionnistes, flirte souvent avec l’antisémitisme le plus répugnant et tente de réécrire l’histoire récente de l’Autriche. Lors de la nomination de Benoît XVI, elle avait bruyamment fait part de sa joie, elle milite aussi pour la réhabilitation des « politiques sociales » (sic) de diverses dictatures et dictateurs comme celle de Franco, Mussolini, Salazar, Pinochet, les colonels Grecs. Les Oustachis croates etc. etc.

Cette information éclaire d’un jour nouveau le tournant idéologique du Vatican depuis que Benoît XVI a été nommé pape. L’homme, bavarois de naissance, peut en effet difficilement expliquer aujourd’hui n’avoir pas su ce qu’était et ce qui s’écrivait dans cette « revue » Die Aula en 1998, la revue étant publiée en langue allemande. Elle soutenait alors clairement l’ascension du néo nazi Jörg Haider

Et la triste notoriété de Haider dépassait alors largement les frontières de la petite Autriche et faisait jubiler notre consanguin national alias Jean Marie Lepen et ses clones de toute l’extrême droite européenne comme Berlusconi et sa clique des liguards nationalistes et fasciste de la « ligue du nord » et ses clones allianza nazionale. Mais aussi la marque de vêtements et de chaussures de sports Reebok qui n’avait rien trouvé de mieux a faire pour vendre et nous refourguer sa camelote fabriquée a bas prix dans les sweats shops prisons de la « chine communiste » de marché, que de nous montrer un clip ou l’on voyait Jörg Haider gravir une montagne avec comme « commentaire » -« Jörg Haider un homme qui monte Jörg Haider un homme qui gagne ».

NI DIEUX NI MAITRES NI PAPES.