Voila une action s’est dècidèe pendant le rassemblement contre les jaunes de la cfdt, et du medef et leur nouvel « accord » inique, pas mal manifestant(es) de paris ont donc dècidè(es) d’essayer de passer par les portes de derrière, le problème c’est que les milices du sarkosme sécuritaire bien sur nous attendaient, et ont commencès a gazer aussitot.

Voici mon tèmoignage en espèrant qu’il seras suivis par d’autres

En fait on a tous et toutes essayé(es) de contourner l’unedic et de rentrer par derrière, évidement on y bien sur était attendu(es) par les milices sarkosmeuses, qui ont aussitôt, commencées a nous gazer a coup de grenades lacrymogènes (heureusement pas tirées a coup de lance grenades mais à la grenade à main, ce qui fait « parait » t’il moins mal selon le « jargon » de ces mêmes milices sarkosmeuses).

On est reparti bien énervè(es) par une autre rue direction la rue de Reuilly, pour nous retrouver en quelque sorte derrière les gardes mobiles, bref ils se sont donc retrouvés ainsi avec deux manifs a surveiller une devant l’unedic, et une autre dans la même rue, mais cent mètres derrière, hargne et rogne des cognes qui ne savaient plus trop ou foutre, leur saloperie de canon a eau, on les a donc en quelques sorte encerclés ce a quoi apparemment ils ne s’attendaient pas trop.

Ensuite au bout d’une demie heure on est tous et toutes retourné(es) vers l’avenue Daumesnil en plein milieu de la circulation (et des beaufs en bagnoles, qui soit flippaient grave, soit klaxonnaient comme des gros cons qu’ils sont) on a donc continué de tenter de défiler, avant de se faire bloquer un nouveau cordon de mobiles, il y a eus une ou deux charges, des coups de matraques, un copain en a d’ailleurs pris un sur la tète, en se repliant on a encerclés une bagnole de flics qui s’était paumée dans la circulation, ou qui nous suivait pour renseigner leurs « collègues » mobiles, notez cependant la trop grande gentillesse des manifestant(es) la voiture a été certes un peu secouée, mais aucun pares brises n’a volé en éclat (si on avait étés des enflures comme les mobiles, on aurait largement eus le temps de rosser ces deux cognes, qui ont dus avoir la trouille de leur vies).

Pour finir après de longues discussions entre les camarades, retour par petit groupes via le mètro pour certain(es), par des petites rues pour d’autres, vers montgalet.

Pour ma part fatigué par les gaz lacrymo, et ces courses poursuites, je suis parti vers 18 h 30 ou 19 h mais la manifestation continuait. Je ne pourrais donc pas vous en raconter la fin

Voila pour mon tèmoignage

A samedi pour la manifestation de fin du Fse

Un manifestant très énervé par le régime chiraffsark